L'Afrique du Sud, pays de Mandela est le premier pays à légaliser le mariage gay. Les présidents, Sud-Africain (Jacob Zuma) et Centrafricain (Faustin Archange Touadéra) sont polygames et l'assument, ne cherchant donc pas à dissimuler leur progéniture ou à cacher certaines de leur conquête, les mères de leurs enfants. Les Africaines, les Africains ne sont pas des harceleurs, des attoucheurs mais des viveurs et des viveuses naturels. Le Code familial centrafricain adopté seulement en 1998 suite aux dégâts du Sida, autorise la polygamie. Un choix sociétal important. La polyandrie en Afrique de l'Est en est un.
Quand l'Afrique se mettra-t-elle pour valoriser, vendre, prêcher ses choix sociétaux pour aider des pays mortifères qui font le bonheur d'un système judiciaire dans des pays qui promeuvent la famille recomposée, peut-être pour faire revivre des mammouths aux côtés des éléphants braconnés et invités à l'immigration pour peupler des parcs d'attraction.
Le Sénégal vient d'assumer une responsabilité continentale énorme et la Côte-d'Ivoire pays de bourreaux, torturant une femme peut-être bourreau, mais sûrement torturée par des bourreaux.
Le CCPR demande à l'Organisation de l'Unité Africaine (OUA) de prendre ses responsabilités, de maintenir et de renforcer les compétences de cette Haute Cour respectée et respectable qui vient de juger Hissène Habre, ce Président de "Vive la France-Afrique", soutenu, placé au pouvoir par des nantis aujourd'hui absents du procès que semble regretter le condamné Habré. Les procès Laurent Gbagbo et Jean-Pierre Bemba à la CPI dont tout le monde connaît les tenants et les aboutissants peuvent être transférés à cette Cour de Justice africaine et ce sera un important signe de l'indépendance africaine. Nous pouvons rêver même si le système est noyauté par les colonisateurs. Et Habré risque de mourir comme Bokassa, comme Patassé, comme Kadhafi, comme Gbagbo, comme Idriss Déby Itno, comme François Duvalier Papa Doc tonton Macoute, comme Boganda, comme Toussaint Louverture, comme Thomas Sankara, comme Robert Mugabé, comme Ahmed Sékou Touré avec ce soupir de beaucoup de choses dans le ventre. C'est çà le néocolonialisme et la traitrise.
Vive le Sénégal pour que Vive l'Afrique !
Dr Félix Yandia, président du CCPR
Quand l'Afrique se mettra-t-elle pour valoriser, vendre, prêcher ses choix sociétaux pour aider des pays mortifères qui font le bonheur d'un système judiciaire dans des pays qui promeuvent la famille recomposée, peut-être pour faire revivre des mammouths aux côtés des éléphants braconnés et invités à l'immigration pour peupler des parcs d'attraction.
Le Sénégal vient d'assumer une responsabilité continentale énorme et la Côte-d'Ivoire pays de bourreaux, torturant une femme peut-être bourreau, mais sûrement torturée par des bourreaux.
Le CCPR demande à l'Organisation de l'Unité Africaine (OUA) de prendre ses responsabilités, de maintenir et de renforcer les compétences de cette Haute Cour respectée et respectable qui vient de juger Hissène Habre, ce Président de "Vive la France-Afrique", soutenu, placé au pouvoir par des nantis aujourd'hui absents du procès que semble regretter le condamné Habré. Les procès Laurent Gbagbo et Jean-Pierre Bemba à la CPI dont tout le monde connaît les tenants et les aboutissants peuvent être transférés à cette Cour de Justice africaine et ce sera un important signe de l'indépendance africaine. Nous pouvons rêver même si le système est noyauté par les colonisateurs. Et Habré risque de mourir comme Bokassa, comme Patassé, comme Kadhafi, comme Gbagbo, comme Idriss Déby Itno, comme François Duvalier Papa Doc tonton Macoute, comme Boganda, comme Toussaint Louverture, comme Thomas Sankara, comme Robert Mugabé, comme Ahmed Sékou Touré avec ce soupir de beaucoup de choses dans le ventre. C'est çà le néocolonialisme et la traitrise.
Vive le Sénégal pour que Vive l'Afrique !
Dr Félix Yandia, président du CCPR