L’événement a rassemblé des autorités judiciaires, des partenaires institutionnels, des acteurs de la société civile ainsi que de nombreuses personnalités invitées. Il marque l’émergence d’une nouvelle dynamique portée par une génération déterminée à contribuer à la construction d’un Tchad moderne, juste et respectueux des valeurs constitutionnelles.
Un appel fondateur à bâtir l’avenir par la justice
Ouvrant la série des allocutions, le représentant du comité d’organisation, Moustapha Abdallah Adam, a posé les bases philosophiques et civiques de la jeune association. Il a rappelé que la justice constitue « le fondement de la cohésion nationale » et a exhorté les jeunes juristes à s’engager pleinement dans l’œuvre de consolidation de l’État de droit.
Citant le proverbe : « La justice élève une nation, tandis que l’injustice la divise », il a invité les membres à œuvrer pour une justice « impartiale, transparente et accessible ».
Il a également appelé la jeunesse à la rigueur, à la loyauté et à la solidarité, affirmant : « Vous ne devez pas être de simples observateurs, mais de véritables bâtisseurs de l’avenir du pays. »
Il a conclu en présentant la création de l’AJJT comme « une espérance nouvelle pour un Tchad plus juste, plus uni et plus ambitieux ».
Le juriste, gardien de l’équilibre social
Prenant la parole, la vice-présidente de l’AJJT, Fozia Asseïd Bolad, a précisé la vocation éthique et professionnelle de l’association. Elle a salué la présence des autorités, symbole selon elle d’un « engagement précieux en faveur de la jeunesse ».
Elle a rappelé le rôle essentiel du juriste dans la société : « Être juriste, c’est comprendre que la société repose sur l’équilibre : entre droits et devoirs, liberté et responsabilité, justice et humanité. Le juriste est le gardien silencieux de cet équilibre. »
Elle a ensuite présenté les quatre principaux objectifs de l’AJJT : Former des juristes compétents et responsables ; Renforcer la vulgarisation juridique ; Promouvoir l’excellence et l’éthique professionnelle ; Développer un leadership crédible et engagé.
Insistant sur le développement personnel, elle a précisé : « Un juriste accompli n’est pas seulement celui qui connaît le droit, mais celui qui se connaît lui-même. »
Son intervention s’est conclue par un vibrant appel : « Le Tchad a besoin d’une jeunesse qui ne se contente pas d’observer le changement, mais qui le construit. Là où le droit s’arrête, commence l’injustice ; là où le juriste s’engage, la justice avance. »
Le soutien des autorités et une feuille de route ambitieuse
Représentant le gouvernement, Hassaballah Barout Ahmat, conseiller juridique et émissaire de Mme Fatimé Aldjineh Garfa, ministre déléguée chargée de l’Intégration africaine et des Tchadiens de l’étranger, ainsi que Présidente d’honneur de l’AJJT, a salué la pertinence de cette initiative.
Il a souligné le rôle stratégique des juristes dans l’édification d’un véritable État de droit et a encouragé la jeunesse à insuffler un nouvel élan fondé sur la rigueur, l’innovation et l’intégrité.
Au nom de la ministre, il a tracé une feuille de route exigeante : préserver l’éthique professionnelle, cultiver la formation continue, servir l’intérêt général et renforcer la solidarité entre jeunes juristes, rappelant que : « La solidarité est une force transformatrice. La jeunesse n’hérite pas du futur, elle le construit. »
Il a assuré que le ministère resterait attentif aux actions de l’AJJT. La Présidente d’honneur a, pour sa part, exprimé toute sa confiance en la jeunesse tchadienne, l’invitant à servir le pays avec honneur et à faire de l’association un modèle d’engagement, d’excellence et de patriotisme.
Un appel fondateur à bâtir l’avenir par la justice
Ouvrant la série des allocutions, le représentant du comité d’organisation, Moustapha Abdallah Adam, a posé les bases philosophiques et civiques de la jeune association. Il a rappelé que la justice constitue « le fondement de la cohésion nationale » et a exhorté les jeunes juristes à s’engager pleinement dans l’œuvre de consolidation de l’État de droit.
Citant le proverbe : « La justice élève une nation, tandis que l’injustice la divise », il a invité les membres à œuvrer pour une justice « impartiale, transparente et accessible ».
Il a également appelé la jeunesse à la rigueur, à la loyauté et à la solidarité, affirmant : « Vous ne devez pas être de simples observateurs, mais de véritables bâtisseurs de l’avenir du pays. »
Il a conclu en présentant la création de l’AJJT comme « une espérance nouvelle pour un Tchad plus juste, plus uni et plus ambitieux ».
Le juriste, gardien de l’équilibre social
Prenant la parole, la vice-présidente de l’AJJT, Fozia Asseïd Bolad, a précisé la vocation éthique et professionnelle de l’association. Elle a salué la présence des autorités, symbole selon elle d’un « engagement précieux en faveur de la jeunesse ».
Elle a rappelé le rôle essentiel du juriste dans la société : « Être juriste, c’est comprendre que la société repose sur l’équilibre : entre droits et devoirs, liberté et responsabilité, justice et humanité. Le juriste est le gardien silencieux de cet équilibre. »
Elle a ensuite présenté les quatre principaux objectifs de l’AJJT : Former des juristes compétents et responsables ; Renforcer la vulgarisation juridique ; Promouvoir l’excellence et l’éthique professionnelle ; Développer un leadership crédible et engagé.
Insistant sur le développement personnel, elle a précisé : « Un juriste accompli n’est pas seulement celui qui connaît le droit, mais celui qui se connaît lui-même. »
Son intervention s’est conclue par un vibrant appel : « Le Tchad a besoin d’une jeunesse qui ne se contente pas d’observer le changement, mais qui le construit. Là où le droit s’arrête, commence l’injustice ; là où le juriste s’engage, la justice avance. »
Le soutien des autorités et une feuille de route ambitieuse
Représentant le gouvernement, Hassaballah Barout Ahmat, conseiller juridique et émissaire de Mme Fatimé Aldjineh Garfa, ministre déléguée chargée de l’Intégration africaine et des Tchadiens de l’étranger, ainsi que Présidente d’honneur de l’AJJT, a salué la pertinence de cette initiative.
Il a souligné le rôle stratégique des juristes dans l’édification d’un véritable État de droit et a encouragé la jeunesse à insuffler un nouvel élan fondé sur la rigueur, l’innovation et l’intégrité.
Au nom de la ministre, il a tracé une feuille de route exigeante : préserver l’éthique professionnelle, cultiver la formation continue, servir l’intérêt général et renforcer la solidarité entre jeunes juristes, rappelant que : « La solidarité est une force transformatrice. La jeunesse n’hérite pas du futur, elle le construit. »
Il a assuré que le ministère resterait attentif aux actions de l’AJJT. La Présidente d’honneur a, pour sa part, exprimé toute sa confiance en la jeunesse tchadienne, l’invitant à servir le pays avec honneur et à faire de l’association un modèle d’engagement, d’excellence et de patriotisme.
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L’Association des Jeunes Juristes du Tchad lancée pour renforcer l’État de droit








