Lors de cette réunion, le ministre de la Refondation de l'État, chargé des Relations avec les Institutions, a présenté au Conseil des Ministres un projet d'étude visant à analyser la situation du portefeuille et la gestion des participations de l'État dans les entreprises publiques et les entités économiques et financières.
Cette initiative découle des recommandations des Assises Nationales de la Refondation, ainsi que des instructions données par le Président de la Transition. L'objectif de cette étude est de mettre en place des mesures urgentes pour mieux préserver les intérêts nationaux dans la gestion des structures, des sociétés et des entreprises auxquelles l'État contribue ou dans lesquelles il détient des participations.
Le portefeuille national de l'État englobe diverses sociétés, telles que des entreprises industrielles, extractives, commerciales, bancaires et de télécommunications, ainsi que des participations dans des sociétés régionales et africaines. Cependant, la gestion de ces participations souffre de lacunes, notamment la persistance de subventions et d'exonérations, le manque d'assistance-conseil pour développer des stratégies d'investissement et de financement, le manque de coordination entre les ministères concernés.
L'analyse de la situation révèle plusieurs constats, tels que le fardeau budgétaire représenté par certaines entreprises, la faible capacité de négociation des représentants de l'État au sein des organes de gouvernance, le manque de suivi adéquat des sociétés par l'État, etc.
Dans le but de remédier à ces défis et de maximiser les avantages pour l'État, le Gouvernement a décidé de lancer une étude approfondie. Cette étude vise à dresser un bilan du portefeuille de l'État, évaluer la situation globale et formuler des recommandations pour la mise en place d'une politique publique solide en matière de gestion des participations de l'État. L'objectif ultime est de renforcer la gouvernance de ces portefeuilles, afin de garantir une meilleure rentabilité économique, financière et stratégique en faveur de l'État.
Cette initiative découle des recommandations des Assises Nationales de la Refondation, ainsi que des instructions données par le Président de la Transition. L'objectif de cette étude est de mettre en place des mesures urgentes pour mieux préserver les intérêts nationaux dans la gestion des structures, des sociétés et des entreprises auxquelles l'État contribue ou dans lesquelles il détient des participations.
Le portefeuille national de l'État englobe diverses sociétés, telles que des entreprises industrielles, extractives, commerciales, bancaires et de télécommunications, ainsi que des participations dans des sociétés régionales et africaines. Cependant, la gestion de ces participations souffre de lacunes, notamment la persistance de subventions et d'exonérations, le manque d'assistance-conseil pour développer des stratégies d'investissement et de financement, le manque de coordination entre les ministères concernés.
L'analyse de la situation révèle plusieurs constats, tels que le fardeau budgétaire représenté par certaines entreprises, la faible capacité de négociation des représentants de l'État au sein des organes de gouvernance, le manque de suivi adéquat des sociétés par l'État, etc.
Dans le but de remédier à ces défis et de maximiser les avantages pour l'État, le Gouvernement a décidé de lancer une étude approfondie. Cette étude vise à dresser un bilan du portefeuille de l'État, évaluer la situation globale et formuler des recommandations pour la mise en place d'une politique publique solide en matière de gestion des participations de l'État. L'objectif ultime est de renforcer la gouvernance de ces portefeuilles, afin de garantir une meilleure rentabilité économique, financière et stratégique en faveur de l'État.