Lors de l'audience, Akere Muna, du parti Univers, a plaidé sa cause aux côtés de son avocate, Maître Michèle Ndoki. Les avocats de Paul Biya, du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC), ont également présenté leurs arguments.
La requête, qui portait sur l'inéligibilité du président sortant, a été jugée "non justifiée dans le fond" par le Conseil constitutionnel, présidé par Clément Atangana.