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Le Tchad célèbre la journée mondiale de l'enfant


Alwihda Info | Par Hassan Djidda Hassan - 20 Novembre 2019



Le Tchad célèbre la journée mondiale de l'enfant. © Alwihda Info
Le Tchad célèbre la journée mondiale de l'enfant. © Alwihda Info
A l'instar des autres provinces du Tchad, la province du Batha a célébré ce mercredi 20 novembre 2019 à l'école catholique d'Ati, la journée mondiale de l'enfant et le 30ème anniversaire de la convention relative aux droits des enfants.

La cérémonie a eu lieu en présence du préfet du département du Batha Ouest, Fatimé Boukar Kosseï, du maire 2ème adjoint de la commune d'Ati, Achta Hissien Grimbile et des parents d'élève.

La journée a pour objectif de renforcer les principaux acteurs, et d'informer et de sensibiliser les enfants sur leurs droits pour leur plus grand épanouissement.

Le préfet a indiqué que "les droits de l'enfant sont désormais reconnus par le traité international ratifié par 195 Etats dont le Tchad fait partie."

"L'éducation aide les enfants à développer pleinement leur personnalité, leurs talents et aussi leurs capacités. Elle doit les aider à comprendre leurs droits, leurs devoirs ainsi que leur culture. Elle aide aussi à vivre en paix et surtout à protéger leur environnement"
, a souligné le préfet.

Le Tchad célèbre la journée mondiale de l'enfant. © Alwihda Info
Le Tchad célèbre la journée mondiale de l'enfant. © Alwihda Info
Au Tchad, en 30 ans, des avancées significatives ont été enregistrées, selon l'UNICEF. Ces avancées se matérialisent par la ratification de la convention des droits de l'enfant (CDE) le 2 octobre 1990, l'institutionnalisation du Parlement des enfants comme un instrument de plaidoyer et d'expression des enfants, et l'adoption de la loi n° 29 ratifiant l'ordonnance n° 6 interdisant le mariage des enfants.

La convention internationale des droits des enfants prévoit que tous les enfants, sans distinction de sexe, ont les mêmes droits, peu importe leur race, leur classe sociale, leur rang familial, leur langue ou leur religion. Aucun enfant ne doit être traité injustement. "Ils ont tous le droit d'avoir un acte de naissance pour leur sécurité et leur éducation", a rappelé le préfet.



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