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INTERNATIONAL

Le premier ministre Sarandji , technicien de surface?


Alwihda Info | Par CCPR - 3 Mai 2016


Bientôt les 100jours du régime Touadéra et toujours aucune initiative, le premier ministre Sarandji a déposé sa demande d'emploi à la Mairie de Bangui.


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Comme dit Stella Denzel Ineïda "Où va-t-on stocker les ordures...", du précédent régime? À moins que ce soit déjà les ordures du régime actuel. Le travail de la voirie relève de la Mairie. Voilà que Sarandji dans sa tenue de joggeur paresseux et essoufflé, reposant sur le manche d'une pelle. Pire que les ministres des TP!
Ce premier ministre qui demande à ses ministres de faire le travail des manœuvres à la place des centrafricains qui sont à la recherche du travail de manœuvre! Les centrafricains qui souffrent, qui cherchent du travail et voilà des premiers ministres, des ministres qui déposent leur lettre de motivation formulée comme suit: "j'aime bien la déchetterie, déjà tout petit je rêvais de faire les poubelles". Chers compatriotes centrafricains, chers banguissois, puisque la République Centrafricaine se limite à Bangui, continuez de déposer vos immondices partout partout dans la ville pour créer du travail à nos premiers ministres et ministres en manque de travail.
Pourtant, dans un pays normal, la vraie mission de tous ces ministres se trouve maintenant dans la sous-préfecture de Kouï là où le pays est menacé et surtout de donner du travail à chaque centrafricain. Dommage que nos politiques se convertissent en éboueurs, piquent le travail des manœuvres pour camoufler une politique inexistante, sans fond. Ils se sont épinglés des médailles de travail le 1er mai 2016, pour quel résultat?
RFI est à Bangui pour faire le guignol. Courez, parlez à RFI sans parler aux centrafricains et aux journalistes centrafricains. Vive le néo-colonialisme! Courez et répondez à la convocation de RFI mais arrêtons d'en créer pour balayer cette merde permanente, de régime en régime.
Mes très chers compatriotes, le CCPR est convaincu que les dirigeants centrafricains ne sont que des gardiens, des vigiles qui protègent les intérêts coloniaux dans ce riche pays là où pourtant coulent le lait et le miel.
En conclusion comme dira le centrafricain "Mô Sara Dji ti mô na mbi apè".

Dr Félix Yandia, président du CCPR, le 02/05/2016



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