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Les 75 pays réunis ont promis plus de 3 milliards de dollars à l'Autorité palestinienne
Les 75 pays réunis ont promis plus de 3 milliards de dollars à l'Autorité palestinienne, dont 1,3 milliard pour la reconstruction de Gaza.
Le restant est destiné au budget de l'AP.
L'Arabie saoudite s'est engagée à verser 1 milliard de dollars, les USA 900 millions de dollars, et l'UE 554 millions de dollars.
Mais outre cette plateforme d'aide financière pour Gaza, la conférence de Charm el-Cheikh s'est transformé en sommet politique où chaque dirigeant à fait part de ses attentes.
Mahmoud Abbas a notamment appelé le gouvernement israélien à respecter les accords antérieurs et invité la communauté internationale à exiger du prochain gouvernement israélien de « s'engager pour un règlement basé sur deux Etats et de respecter les accords signés ».
Ban Ki-moon a pour sa part demandé la réouverture des points de passage de Gaza, le secrétaire général de l'Onu soulignant que « la situation aux check-points est intolérable » et que les « biens essentiels ne peuvent entrer » dans la Bande de Gaza. Il a également appelé à s'assurer de l'arrêt de la contrebande d'armes vers Gaza.
« La libération de Guilad Shalit est une priorité » a affirmé Nicolas Sarkozy qui a par ailleurs indiqué : « Nous n'accepterons jamais que sa vie (de Guilad) soit mise en danger (...). La libération de Guilad Shalit doit intervenir dans les meilleurs délais ».
Le président français a également affirmé que « l'humanité ne se remettrait pas d'un conflit entre l'Orient et l'Occident. Nous sommes venus ici pour faire la paix ». Et de préciser : « la raison et la prudence, c'est de faire une conférence pour la paix avant la fin de l'année ».
Enfin sur le même ton, Hillary Clinton a espéré transformer « la crise de Gaza en une opportunité ». La secrétaire d'Etat américaine a déclaré à l'ouverture de la conférence sur la reconstruction de Gaza, que l'objectif est de créer un Etat palestinien « qui sera un partenaire responsable et vivra en paix avec Israël et ses voisins arabes et sera responsable de ses citoyens ».
Source:
http://guysen.com/
Le restant est destiné au budget de l'AP.
L'Arabie saoudite s'est engagée à verser 1 milliard de dollars, les USA 900 millions de dollars, et l'UE 554 millions de dollars.
Mais outre cette plateforme d'aide financière pour Gaza, la conférence de Charm el-Cheikh s'est transformé en sommet politique où chaque dirigeant à fait part de ses attentes.
Mahmoud Abbas a notamment appelé le gouvernement israélien à respecter les accords antérieurs et invité la communauté internationale à exiger du prochain gouvernement israélien de « s'engager pour un règlement basé sur deux Etats et de respecter les accords signés ».
Ban Ki-moon a pour sa part demandé la réouverture des points de passage de Gaza, le secrétaire général de l'Onu soulignant que « la situation aux check-points est intolérable » et que les « biens essentiels ne peuvent entrer » dans la Bande de Gaza. Il a également appelé à s'assurer de l'arrêt de la contrebande d'armes vers Gaza.
« La libération de Guilad Shalit est une priorité » a affirmé Nicolas Sarkozy qui a par ailleurs indiqué : « Nous n'accepterons jamais que sa vie (de Guilad) soit mise en danger (...). La libération de Guilad Shalit doit intervenir dans les meilleurs délais ».
Le président français a également affirmé que « l'humanité ne se remettrait pas d'un conflit entre l'Orient et l'Occident. Nous sommes venus ici pour faire la paix ». Et de préciser : « la raison et la prudence, c'est de faire une conférence pour la paix avant la fin de l'année ».
Enfin sur le même ton, Hillary Clinton a espéré transformer « la crise de Gaza en une opportunité ». La secrétaire d'Etat américaine a déclaré à l'ouverture de la conférence sur la reconstruction de Gaza, que l'objectif est de créer un Etat palestinien « qui sera un partenaire responsable et vivra en paix avec Israël et ses voisins arabes et sera responsable de ses citoyens ».
Source:
http://guysen.com/
