Face à la crise sans précédent des opioïdes, le gouvernement américain a renforcé sa politique migratoire, à travers une nouvelle mesure ciblée contre les acteurs du trafic international de drogues illicites, notamment le fentanyl.
En effet, le secrétaire d’État Marco Rubio a annoncé ce jeudi l’entrée en vigueur d’une politique de restriction de visas qui s’appliquera non seulement aux trafiquants eux-mêmes, mais également à leurs proches et associés.
Cette décision intervient dans un contexte dramatique : les overdoses restent la principale cause de mortalité chez les Américains âgés de 18 à 44 ans, avec plus de 220 décès par jour enregistrés en 2024. Plus de 40 % des Américains affirment connaître une victime d’overdose, selon les autorités sanitaires.
La nouvelle politique, fondée sur l’article 212(a)(3)(C) de la Loi sur l’Immigration et la Nationalité, vise à rendre inéligibles à l’obtention de visa les membres de la famille, les associés personnels et commerciaux des individus déjà sanctionnés sous le décret exécutif 14059 relatif au trafic mondial de drogues. « Restreindre l’accès au territoire américain de ces individus est une mesure dissuasive supplémentaire pour enrayer les réseaux de drogue », a déclaré le secrétaire Rubio.
Il a réaffirmé l’engagement des États-Unis à utiliser tous les outils diplomatiques et juridiques à leur disposition pour endiguer le flux de fentanyl et d’autres drogues illicites responsables de milliers de décès chaque année.
Cette initiative complète les mesures déjà existantes, notamment les sanctions économiques et les interdictions de visas pour trafic de stupéfiants prévues par la loi. Elle s’inscrit dans une approche plus large de sécurisation des frontières, de prévention sanitaire et de pression diplomatique sur les organisations criminelles internationales impliquées dans le commerce des opioïdes.
Avec cette nouvelle politique, Washington espère frapper plus fort au cœur des réseaux en ciblant non seulement les trafiquants, mais également leur entourage immédiat, afin de dissuader toute implication future dans ce fléau mondial.
En effet, le secrétaire d’État Marco Rubio a annoncé ce jeudi l’entrée en vigueur d’une politique de restriction de visas qui s’appliquera non seulement aux trafiquants eux-mêmes, mais également à leurs proches et associés.
Cette décision intervient dans un contexte dramatique : les overdoses restent la principale cause de mortalité chez les Américains âgés de 18 à 44 ans, avec plus de 220 décès par jour enregistrés en 2024. Plus de 40 % des Américains affirment connaître une victime d’overdose, selon les autorités sanitaires.
La nouvelle politique, fondée sur l’article 212(a)(3)(C) de la Loi sur l’Immigration et la Nationalité, vise à rendre inéligibles à l’obtention de visa les membres de la famille, les associés personnels et commerciaux des individus déjà sanctionnés sous le décret exécutif 14059 relatif au trafic mondial de drogues. « Restreindre l’accès au territoire américain de ces individus est une mesure dissuasive supplémentaire pour enrayer les réseaux de drogue », a déclaré le secrétaire Rubio.
Il a réaffirmé l’engagement des États-Unis à utiliser tous les outils diplomatiques et juridiques à leur disposition pour endiguer le flux de fentanyl et d’autres drogues illicites responsables de milliers de décès chaque année.
Cette initiative complète les mesures déjà existantes, notamment les sanctions économiques et les interdictions de visas pour trafic de stupéfiants prévues par la loi. Elle s’inscrit dans une approche plus large de sécurisation des frontières, de prévention sanitaire et de pression diplomatique sur les organisations criminelles internationales impliquées dans le commerce des opioïdes.
Avec cette nouvelle politique, Washington espère frapper plus fort au cœur des réseaux en ciblant non seulement les trafiquants, mais également leur entourage immédiat, afin de dissuader toute implication future dans ce fléau mondial.