Au cours de cette session, un expert a présenté plusieurs points essentiels pour améliorer la gouvernance associative : Prise de décision collective : consulter systématiquement responsables et bénéficiaires avant toute décision majeure ; Gestion financière : assurer un enregistrement précis des dépenses, un suivi strict du budget et éviter les imprévus financiers ; Suivi des projets : évaluer régulièrement les activités, finaliser les projets inachevés et produire des rapports détaillés ; Renforcement des capacités : organiser des formations régulières pour éviter la monopolisation des activités par quelques individus ; Éthique : lutter contre la corruption afin de préserver l’intégrité des associations.
Les défis récurrents
L’expert a également relevé plusieurs obstacles qui fragilisent la société civile, tels que le manque de transparence dans la gestion, les conflits internes liés à la répartition des responsabilités ou encore le non-respect de l’alternance au sein des instances dirigeantes. Il a insisté sur la nécessité d’une participation active de tous les membres et d’une libre circulation de l’information pour renforcer la crédibilité des associations.
Cet atelier est rendu possible grâce au soutien financier de l’Union européenne et à la collaboration entre Oxfam, ACORD-Tchad et le CNCPRT.
Les défis récurrents
L’expert a également relevé plusieurs obstacles qui fragilisent la société civile, tels que le manque de transparence dans la gestion, les conflits internes liés à la répartition des responsabilités ou encore le non-respect de l’alternance au sein des instances dirigeantes. Il a insisté sur la nécessité d’une participation active de tous les membres et d’une libre circulation de l’information pour renforcer la crédibilité des associations.
Cet atelier est rendu possible grâce au soutien financier de l’Union européenne et à la collaboration entre Oxfam, ACORD-Tchad et le CNCPRT.