Le Département d’État américain, à travers le Plan d’urgence du Président des États-Unis pour la lutte contre le sida (PEPFAR), a annoncé une initiative stratégique visant à mettre à disposition le lenacapavir, un médicament innovant développé par Gilead Sciences.
Cette démarche ambitionne d’atteindre jusqu’à 2 millions de personnes d’ici 2028, notamment dans les pays les plus touchés par le VIH. Le lenacapavir est un traitement injectable administré deux fois par an.
Selon les essais cliniques menés par Gilead, plus de 99 % des patients sont restés séronégatifs, ce qui en fait une avancée scientifique majeure.
Le médicament présente un intérêt particulier pour les femmes enceintes et allaitantes, car il protège efficacement contre la transmission mère-enfant. Jeremy Lewin, haut responsable du Département d’État pour l’assistance humanitaire, a souligné : « Cet engagement illustre l’agenda America First de l’administration en matière d’aide humanitaire. Il place l’innovation américaine au service de la lutte contre le VIH, notamment pour éradiquer la transmission mère-enfant au cours du second mandat du Président Trump. »
Le modèle d’administration biannuel du lenacapavir facilite l’observance des patients, réduit les coûts liés au traitement et diminue considérablement les risques de nouvelles infections. Le Département d’État collaborera avec les pays à forte prévalence pour développer des stratégies de distribution, avec un accent sur la prévention de la transmission mère-enfant. Gilead Sciences a décidé de fournir le médicament à prix coûtant, sans bénéfice commercial.
Son PDG, Daniel O’Day, a déclaré : « Le lenacapavir est le fruit de près de deux décennies de recherche. Grâce au partenariat avec PEPFAR, nous pouvons accélérer son accès et sauver des vies là où les besoins sont les plus urgents. » Le Fonds mondial s’est également engagé à cofinancer cette initiative afin d’étendre la distribution du lenacapavir à d’autres pays.
Son directeur exécutif, Peter Sands, a insisté sur l’importance de l’accélération de l’accès aux innovations médicales : « Pour inverser la tendance de l’épidémie, nous devons déployer rapidement et efficacement les solutions les plus prometteuses, à des coûts abordables. »
Avec cette initiative conjointe, les États-Unis, Gilead Sciences et le Fonds mondial espèrent marquer un tournant décisif dans la lutte mondiale contre le VIH, en offrant aux pays les plus touchés un outil puissant pour réduire drastiquement les nouvelles infections et avancer vers l’autonomie sanitaire.
Cette démarche ambitionne d’atteindre jusqu’à 2 millions de personnes d’ici 2028, notamment dans les pays les plus touchés par le VIH. Le lenacapavir est un traitement injectable administré deux fois par an.
Selon les essais cliniques menés par Gilead, plus de 99 % des patients sont restés séronégatifs, ce qui en fait une avancée scientifique majeure.
Le médicament présente un intérêt particulier pour les femmes enceintes et allaitantes, car il protège efficacement contre la transmission mère-enfant. Jeremy Lewin, haut responsable du Département d’État pour l’assistance humanitaire, a souligné : « Cet engagement illustre l’agenda America First de l’administration en matière d’aide humanitaire. Il place l’innovation américaine au service de la lutte contre le VIH, notamment pour éradiquer la transmission mère-enfant au cours du second mandat du Président Trump. »
Le modèle d’administration biannuel du lenacapavir facilite l’observance des patients, réduit les coûts liés au traitement et diminue considérablement les risques de nouvelles infections. Le Département d’État collaborera avec les pays à forte prévalence pour développer des stratégies de distribution, avec un accent sur la prévention de la transmission mère-enfant. Gilead Sciences a décidé de fournir le médicament à prix coûtant, sans bénéfice commercial.
Son PDG, Daniel O’Day, a déclaré : « Le lenacapavir est le fruit de près de deux décennies de recherche. Grâce au partenariat avec PEPFAR, nous pouvons accélérer son accès et sauver des vies là où les besoins sont les plus urgents. » Le Fonds mondial s’est également engagé à cofinancer cette initiative afin d’étendre la distribution du lenacapavir à d’autres pays.
Son directeur exécutif, Peter Sands, a insisté sur l’importance de l’accélération de l’accès aux innovations médicales : « Pour inverser la tendance de l’épidémie, nous devons déployer rapidement et efficacement les solutions les plus prometteuses, à des coûts abordables. »
Avec cette initiative conjointe, les États-Unis, Gilead Sciences et le Fonds mondial espèrent marquer un tournant décisif dans la lutte mondiale contre le VIH, en offrant aux pays les plus touchés un outil puissant pour réduire drastiquement les nouvelles infections et avancer vers l’autonomie sanitaire.