Le taux de transfert des devises comme principal atout de la légalisation du bitcoin.
Cela pourrait sembler négligeable à première vue, mais le nombre de transferts d’argent reçus de l’étranger est un facteur qui pourrait emmener un pays à opter pour la légalisation du bitcoin. En effet, la quantité d’argent que les expatriés font parvenir à leurs proches représente une part très significative des ressources de certains États. Pourtant, ces transferts, qui pour la plupart sont opérés via Western Union, sont lents et engagent un coût non-négligeable. Les cryptomonnaies peuvent à ce niveau se révéler un véritable atout vu la rapidité avec laquelle les transferts se font, sans compter le moindre coût des frais de ces transactions. Quoi de plus normal que de penser à la monnaie virtuelle la plus en vogue comme solution ?
La rareté des comptes bancaires : un autre critère de choix.
Un pays présentant une grande partie de sa population qui ne possède pas un compte bancaire peut être tenté de légaliser une cryptomonnaie très utilisée comme le bitcoin. Comme cela est généralement le cas dans les pays sous-développés ou en voie de développement, une grande partie de la population ne possède pas un compte bancaire. En revanche, cette même population, même dans les zones les plus pauvres a accès au Smartphone et à Internet. Adopter le bitcoin, la monnaie virtuelle la plus utilisée dans le monde comme une monnaie légale pourrait s’avérer être un pari gagnant pour ce pays, car ceci faciliterait les échanges entre sa population et le reste du monde. Des achats et des transferts seraient plus aisés entre ces populations et le reste du monde, en plus du fait qu’elles bénéficieront d’un porte-monnaie virtuel qui ferait office de compte bancaire.
Le minage du bitcoin, une solution au gaspillage d’énergie dans certains pays.
Nous le savons, le minage du bitcoin est un procédé très énergivore. Or, certains pays, notamment ceux qui utilisent l’hydroélectricité produisent de l’énergie plus qu’ils ne peuvent stocker. Il en résulte un gaspillage du surplus d’énergie. En adoptant le bitcoin comme monnaie légale, le minage des actifs qui demande de très grandes quantités d’énergie permettra à ces nations de minimiser le gaspillage tout en rendant l’excédent utile. Le bitcoin utilisé sur nft profit pour le trading NFT.
Autres facteurs pouvant encourager la légalisation du bitcoin.
Il existe d’autres facteurs plus ou moins ponctuels qui pourraient encourager la légalisation du bitcoin dans certains pays. Il s’agit de :
Pour conclure, si aujourd’hui seul le Salvador a franchi le pas de la légalisation du bitcoin, d’autres États gagneraient à le faire soit pour faciliter les transactions entre sa population et l’extérieur, soit pour échapper aux conséquences liées à l’inflation, l’embargo ou aux sanctions économiques, ou alors pour des besoins d’économie d’énergie.
Cela pourrait sembler négligeable à première vue, mais le nombre de transferts d’argent reçus de l’étranger est un facteur qui pourrait emmener un pays à opter pour la légalisation du bitcoin. En effet, la quantité d’argent que les expatriés font parvenir à leurs proches représente une part très significative des ressources de certains États. Pourtant, ces transferts, qui pour la plupart sont opérés via Western Union, sont lents et engagent un coût non-négligeable. Les cryptomonnaies peuvent à ce niveau se révéler un véritable atout vu la rapidité avec laquelle les transferts se font, sans compter le moindre coût des frais de ces transactions. Quoi de plus normal que de penser à la monnaie virtuelle la plus en vogue comme solution ?
La rareté des comptes bancaires : un autre critère de choix.
Un pays présentant une grande partie de sa population qui ne possède pas un compte bancaire peut être tenté de légaliser une cryptomonnaie très utilisée comme le bitcoin. Comme cela est généralement le cas dans les pays sous-développés ou en voie de développement, une grande partie de la population ne possède pas un compte bancaire. En revanche, cette même population, même dans les zones les plus pauvres a accès au Smartphone et à Internet. Adopter le bitcoin, la monnaie virtuelle la plus utilisée dans le monde comme une monnaie légale pourrait s’avérer être un pari gagnant pour ce pays, car ceci faciliterait les échanges entre sa population et le reste du monde. Des achats et des transferts seraient plus aisés entre ces populations et le reste du monde, en plus du fait qu’elles bénéficieront d’un porte-monnaie virtuel qui ferait office de compte bancaire.
Le minage du bitcoin, une solution au gaspillage d’énergie dans certains pays.
Nous le savons, le minage du bitcoin est un procédé très énergivore. Or, certains pays, notamment ceux qui utilisent l’hydroélectricité produisent de l’énergie plus qu’ils ne peuvent stocker. Il en résulte un gaspillage du surplus d’énergie. En adoptant le bitcoin comme monnaie légale, le minage des actifs qui demande de très grandes quantités d’énergie permettra à ces nations de minimiser le gaspillage tout en rendant l’excédent utile. Le bitcoin utilisé sur nft profit pour le trading NFT.
Autres facteurs pouvant encourager la légalisation du bitcoin.
Il existe d’autres facteurs plus ou moins ponctuels qui pourraient encourager la légalisation du bitcoin dans certains pays. Il s’agit de :
• L’inflation : les pays faisant face à l’inflation pour résoudre ce problème adossent généralement leur monnaie au dollar qui présente une certaine stabilité. Cependant, l’inconvénient est de dépendre d’un autre État concernant sa politique monétaire. Or, avec le cours du bitcoin qui tend à se stabiliser, légaliser le bitcoin devient la meilleure alternative.
• Des sanctions économiques : un pays faisant face aux sanctions économiques ou à un embargo pourrait faciliter les échanges à l’échelle internationale en légalisant le bitcoin. C’est actuellement le cas de la Russie qui opte pour le payement de son gaz en bitcoin.
Pour conclure, si aujourd’hui seul le Salvador a franchi le pas de la légalisation du bitcoin, d’autres États gagneraient à le faire soit pour faciliter les transactions entre sa population et l’extérieur, soit pour échapper aux conséquences liées à l’inflation, l’embargo ou aux sanctions économiques, ou alors pour des besoins d’économie d’énergie.