Le viol est un crime abominable, en république de Djibouti , le régime dictatorial rejette toute responsabilité dans le cas des viols que aurait commis par des prétendants soldats de l'armée djiboutienne. Le viol est parmi les armes regrettables que usent certains hommes de ce siècle. Un crime contre la morale , un crime contre la dignité de la femme. La femme restera pour toujours digne et colonne vertébrale de l'humanité. Nous sommes dans une période que ces femmes qui seraient victimes de violences sexuelle soient soutenus.
A Bruxelles , des braves femmes de valeurs défient un régime qui je respecte aucunement les droits les plus élémentaires de son peuple.
Quand tu portes la voix des sans voix , la dictature te pourchasses en déployant tout les arsenaux juridiques, financiers pour te rendre au silence. Nous refusons de collaborer par le silence.
Nous cassons l'habitude que vit le peuple de Djibouti.
Un peuple meurtri de peur et de violence sous toute ces formes.
Le ministre des affaires étrangères dans un communiqués fantoche sur les ondes de l'unique radio et télévision du pays , rejetant toute responsabilité, et prétend avoir des informations sur des personnes qui sont derrières ces activités, nous lui répondons par le courage d'aller vers l'avant , si vous lui répondez, il aura de la valeur , chez nous , activistes et porteurs d'un espoir pour les victimes et le peuple de Djibouti en général , nous lui cédons pas.
Ces femmes ont besoin d'un soutien indéfectible, ces femmes ont besoin d'un nouveau départ vers la recherche de la vérité et de la justice. Ces femmes ne resteront jamais dans cette situation. Les auteurs ne resteront pas impunis.
La femme à de la valeur dans nos cœurs, nous la supportons avec honneur.
La femme ne mérite pas d'un telle traitement inhumain et irréparable.
Seule la justice leur rendra le sourire.
La grève de la faim est une arme redoutable pour faire pression sur les gens qui sont dans le silence total, sur les prétendus auteurs.
Que justice soit faite pour ces femmes.
Non à l'impunité
Oui à la justice
Non au viol faite aux femmes
Que les auteurs soient poursuivis en justice
A Bruxelles , des braves femmes de valeurs défient un régime qui je respecte aucunement les droits les plus élémentaires de son peuple.
Quand tu portes la voix des sans voix , la dictature te pourchasses en déployant tout les arsenaux juridiques, financiers pour te rendre au silence. Nous refusons de collaborer par le silence.
Nous cassons l'habitude que vit le peuple de Djibouti.
Un peuple meurtri de peur et de violence sous toute ces formes.
Le ministre des affaires étrangères dans un communiqués fantoche sur les ondes de l'unique radio et télévision du pays , rejetant toute responsabilité, et prétend avoir des informations sur des personnes qui sont derrières ces activités, nous lui répondons par le courage d'aller vers l'avant , si vous lui répondez, il aura de la valeur , chez nous , activistes et porteurs d'un espoir pour les victimes et le peuple de Djibouti en général , nous lui cédons pas.
Ces femmes ont besoin d'un soutien indéfectible, ces femmes ont besoin d'un nouveau départ vers la recherche de la vérité et de la justice. Ces femmes ne resteront jamais dans cette situation. Les auteurs ne resteront pas impunis.
La femme à de la valeur dans nos cœurs, nous la supportons avec honneur.
La femme ne mérite pas d'un telle traitement inhumain et irréparable.
Seule la justice leur rendra le sourire.
La grève de la faim est une arme redoutable pour faire pression sur les gens qui sont dans le silence total, sur les prétendus auteurs.
Que justice soit faite pour ces femmes.
Non à l'impunité
Oui à la justice
Non au viol faite aux femmes
Que les auteurs soient poursuivis en justice