L’École Nationale d’Administration (ENA) et l’Institut National du Service Public (INSP) ont organisé ce mardi 18 novembre, un important atelier de validation du référentiel des métiers et des modules de formation destinés aux acteurs territoriaux. Une initiative stratégique pour renforcer les compétences, et moderniser l’administration publique tchadienne.
Placée sous le thème : « La haute fonction publique : quelles compétences acquérir aujourd’hui pour être efficace demain ? », la rencontre a réuni responsables institutionnels, partenaires techniques et experts du secteur public.
Dans son mot introductif, le directeur de la formation initiale et des stages de l’ENA a souligné l’importance de cet atelier comme un tournant majeur dans l'évolution de l’institution. Il a déclaré que ce travail vise à redynamiser les cycles de formation de l’ENA, afin de « booster les activités cadres de l’administration publique tchadienne ».
Selon lui, l’ENA « est en train de construire un nouvel élan qui permettra d’orienter sa vision vers une administration moderne, performante et dotée de compétences réellement adaptées aux défis actuels et futurs ». Le premier conseiller de coopération et d’action culturelle de l’ambassade de France au Tchad, Gaétan Pellan, présent à la cérémonie, a réaffirmé l’engagement de la France à accompagner le Tchad dans la professionnalisation de sa haute fonction publique.
Il a salué l’initiative comme un pas essentiel vers la consolidation des compétences territoriales, et la construction d’un service public plus efficace. Pour sa part, le directeur général de l’ENA, Hassan Borgo, a rappelé que cette démarche de validation constitue une étape clé dans la réforme globale engagée par l’institution.
Par la mise en place d’un référentiel moderne et d’outils pédagogiques adaptés, l’ENA entend garantir une formation alignée aux standards internationaux et aux besoins réels des collectivités territoriales. Cet atelier marque une avancée significative dans la stratégie de professionnalisation des agents publics au Tchad.
Les participants ont insisté sur la nécessité d’une adaptation permanente des compétences, en harmonie avec les enjeux de gouvernance, de décentralisation et de développement local. La validation du référentiel des métiers ouvre ainsi la voie à une meilleure structuration des parcours de formation, et à un renforcement durable des capacités des acteurs territoriaux.
Placée sous le thème : « La haute fonction publique : quelles compétences acquérir aujourd’hui pour être efficace demain ? », la rencontre a réuni responsables institutionnels, partenaires techniques et experts du secteur public.
Dans son mot introductif, le directeur de la formation initiale et des stages de l’ENA a souligné l’importance de cet atelier comme un tournant majeur dans l'évolution de l’institution. Il a déclaré que ce travail vise à redynamiser les cycles de formation de l’ENA, afin de « booster les activités cadres de l’administration publique tchadienne ».
Selon lui, l’ENA « est en train de construire un nouvel élan qui permettra d’orienter sa vision vers une administration moderne, performante et dotée de compétences réellement adaptées aux défis actuels et futurs ». Le premier conseiller de coopération et d’action culturelle de l’ambassade de France au Tchad, Gaétan Pellan, présent à la cérémonie, a réaffirmé l’engagement de la France à accompagner le Tchad dans la professionnalisation de sa haute fonction publique.
Il a salué l’initiative comme un pas essentiel vers la consolidation des compétences territoriales, et la construction d’un service public plus efficace. Pour sa part, le directeur général de l’ENA, Hassan Borgo, a rappelé que cette démarche de validation constitue une étape clé dans la réforme globale engagée par l’institution.
Par la mise en place d’un référentiel moderne et d’outils pédagogiques adaptés, l’ENA entend garantir une formation alignée aux standards internationaux et aux besoins réels des collectivités territoriales. Cet atelier marque une avancée significative dans la stratégie de professionnalisation des agents publics au Tchad.
Les participants ont insisté sur la nécessité d’une adaptation permanente des compétences, en harmonie avec les enjeux de gouvernance, de décentralisation et de développement local. La validation du référentiel des métiers ouvre ainsi la voie à une meilleure structuration des parcours de formation, et à un renforcement durable des capacités des acteurs territoriaux.
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Tchad : ENA et INSP valident un nouveau référentiel pour moderniser la fonction publique








