
Cet enlèvement intervient dans un contexte marqué par une série d’arrestations ciblant les voix critiques du régime du maréchal Mahamat Idriss Déby Itno.
Le 19 août 2025, Abakar Adam Abakar, connu pour ses positions critiques, avait lui aussi été enlevé à son domicile de N’Djamena par des hommes circulant à bord de cinq véhicules non identifiés. Sa famille demeure toujours sans nouvelles.
Outre ces disparitions forcées visant des défenseurs des droits de l’homme, des journalistes ou encore des acteurs de la société civile, la DGRI est également pointée du doigt pour sa participation active à la répression. Dans le même temps, les autorités tchadiennes multiplient les restrictions aux libertés fondamentales : interdiction des manifestations, répression violente des rassemblements, et dissolution récente de deux associations. En revanche, les marches de soutien au pouvoir sont autorisées et sécurisées par l’État.
Ces pratiques sont en totale contradiction avec les engagements régionaux et internationaux du Tchad en matière de respect des droits humains. Elles compromettent sérieusement les espoirs d’une sortie de crise pacifique et respectueuse des libertés fondamentales.
Pour rappel, la DGRI, service actif de la Police nationale, est officiellement chargée de rechercher, centraliser et exploiter les renseignements relatifs à la sécurité nationale et aux intérêts fondamentaux de la Nation. Dans les faits, elle est régulièrement accusée d’être l’instrument privilégié de la répression des voix dissidentes. Dans un contexte de restrictions accrues de la liberté de la presse, les journalistes sont réduits au silence, contraints à l’exil ou victimes d’intimidations, tandis que les organisations de la société civile subissent menaces et arrestations arbitraires.
Le 19 août 2025, Abakar Adam Abakar, connu pour ses positions critiques, avait lui aussi été enlevé à son domicile de N’Djamena par des hommes circulant à bord de cinq véhicules non identifiés. Sa famille demeure toujours sans nouvelles.
Outre ces disparitions forcées visant des défenseurs des droits de l’homme, des journalistes ou encore des acteurs de la société civile, la DGRI est également pointée du doigt pour sa participation active à la répression. Dans le même temps, les autorités tchadiennes multiplient les restrictions aux libertés fondamentales : interdiction des manifestations, répression violente des rassemblements, et dissolution récente de deux associations. En revanche, les marches de soutien au pouvoir sont autorisées et sécurisées par l’État.
Ces pratiques sont en totale contradiction avec les engagements régionaux et internationaux du Tchad en matière de respect des droits humains. Elles compromettent sérieusement les espoirs d’une sortie de crise pacifique et respectueuse des libertés fondamentales.
Pour rappel, la DGRI, service actif de la Police nationale, est officiellement chargée de rechercher, centraliser et exploiter les renseignements relatifs à la sécurité nationale et aux intérêts fondamentaux de la Nation. Dans les faits, elle est régulièrement accusée d’être l’instrument privilégié de la répression des voix dissidentes. Dans un contexte de restrictions accrues de la liberté de la presse, les journalistes sont réduits au silence, contraints à l’exil ou victimes d’intimidations, tandis que les organisations de la société civile subissent menaces et arrestations arbitraires.