
Le vice-président de l’AMET a sollicité l'aide de la nouvelle direction de la HAMA pour mettre un terme au différend qui opposait les médias en ligne à la précédente équipe, notamment sur l'interdiction de proposer des services audiovisuels. Une décision que l'AMET avait contestée en justice, obtenant gain de cause auprès de la Cour Suprême.
Mme Halimé Assadya Ali a reconnu l'existence de problèmes dans la profession et a affirmé l'engagement de la HAMA à assainir le secteur en travaillant de concert avec les médias. Elle a toutefois précisé que le soutien de l'institution ne serait pas une "carte blanche pour des dérives".