La cérémonie d’ouverture a été présidée par le président du CESCE, Dr Ahmat Mbodou Mahamat, en présence du Premier ministre, Chef du Gouvernement, Allah-Maye Halina, représentant le Chef de l’État.
Un discours d’alerte face aux tensions communautaires
Dans son allocution d’ouverture, le Dr Ahmat Mbodou Mahamat a livré un discours poignant sur la montée des conflits inter et intracommunautaires au Tchad. Il a mis en lumière des faits récents survenus à Mandakao (Logone Occidental), Orogomel (Mayo-Kebbi Ouest), ainsi que dans les provinces du Ouaddaï et du Salamat. Ces violences, souvent meurtrières, sont alimentées par des rivalités identitaires, les effets du changement climatique, les luttes d’accès aux ressources naturelles, et la circulation illicite d’armes.
« Des velléités identitaires se réveillent avec brutalité, menaçant la coexistence pacifique », a-t-il déploré, insistant sur l’urgence d’une réponse nationale cohérente.
Des efforts salués, mais des défis persistants
Le président du CESCE a salué les efforts du gouvernement, notamment à travers la stratégie nationale de stabilisation et les processus de médiation initiés sous la direction du Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno. Toutefois, il a souligné les limites des réponses actuelles, en appelant à une approche plus inclusive et durable : « Les motivations des conflits sont souvent liées à l’absence de perspectives de développement solidaire et inclusif. Il faut une réponse collective. »
Une session cruciale pour bâtir la paix`
Pendant deux semaines, cette session rassemblera membres du gouvernement, représentants de la société civile, partenaires techniques et financiers, ainsi que chefs traditionnels, afin de réfléchir à des mécanismes concrets de prévention des conflits. Des recommandations opérationnelles seront formulées et transmises au gouvernement.
Le CESCE prévoit notamment de proposer : Un cadre de dialogue renforcé, Des mesures structurelles contre les inégalités, Un soutien aux capacités de médiation, Des stratégies contre la résurgence des tensions.
« Le CESCE est pleinement disposé à appuyer le gouvernement dans la mise en œuvre de politiques de prévention et d’atténuation des conflits », a affirmé Dr Mahamat.
Le président du CESCE a lancé un appel à l’unité, rappelant que les fruits de cette session doivent conduire à une réponse immédiate et durable pour préserver la paix chèrement acquise.
La session prendra fin le 19 août 2025, avec l’espoir d’avoir jeté les bases d’un Tchad plus stable, uni et solidaire.
Un discours d’alerte face aux tensions communautaires
Dans son allocution d’ouverture, le Dr Ahmat Mbodou Mahamat a livré un discours poignant sur la montée des conflits inter et intracommunautaires au Tchad. Il a mis en lumière des faits récents survenus à Mandakao (Logone Occidental), Orogomel (Mayo-Kebbi Ouest), ainsi que dans les provinces du Ouaddaï et du Salamat. Ces violences, souvent meurtrières, sont alimentées par des rivalités identitaires, les effets du changement climatique, les luttes d’accès aux ressources naturelles, et la circulation illicite d’armes.
« Des velléités identitaires se réveillent avec brutalité, menaçant la coexistence pacifique », a-t-il déploré, insistant sur l’urgence d’une réponse nationale cohérente.
Des efforts salués, mais des défis persistants
Le président du CESCE a salué les efforts du gouvernement, notamment à travers la stratégie nationale de stabilisation et les processus de médiation initiés sous la direction du Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno. Toutefois, il a souligné les limites des réponses actuelles, en appelant à une approche plus inclusive et durable : « Les motivations des conflits sont souvent liées à l’absence de perspectives de développement solidaire et inclusif. Il faut une réponse collective. »
Une session cruciale pour bâtir la paix`
Pendant deux semaines, cette session rassemblera membres du gouvernement, représentants de la société civile, partenaires techniques et financiers, ainsi que chefs traditionnels, afin de réfléchir à des mécanismes concrets de prévention des conflits. Des recommandations opérationnelles seront formulées et transmises au gouvernement.
Le CESCE prévoit notamment de proposer : Un cadre de dialogue renforcé, Des mesures structurelles contre les inégalités, Un soutien aux capacités de médiation, Des stratégies contre la résurgence des tensions.
« Le CESCE est pleinement disposé à appuyer le gouvernement dans la mise en œuvre de politiques de prévention et d’atténuation des conflits », a affirmé Dr Mahamat.
Le président du CESCE a lancé un appel à l’unité, rappelant que les fruits de cette session doivent conduire à une réponse immédiate et durable pour préserver la paix chèrement acquise.
La session prendra fin le 19 août 2025, avec l’espoir d’avoir jeté les bases d’un Tchad plus stable, uni et solidaire.