Le ministre des Infrastructures et des Transports, Ahmat Abakar Adjid, s'est exprimé jeudi sur la réticence de citoyens à verser leur argent en banque, ainsi que les conséquences sur le développement du pays, lors d'un débat avec le cercle de réflexion de convergence économique à N'Djamena.
Selon le ministre, "certaines sociétés disent qu'elles ne travaillent pas avec la banque. L'État a fait un effort en créant le sytème islamique."
"Aujourd'hui, il y a trois ou quatre banques qui appliquent déjà ça. Tout l'argent qui est gardé à la maison, ça fait reculer le développement dans le pays", a-t-il expliqué.
"Versez-le en banque parce que ce qui est en surplus, les autres vont prendre des crédits. Dans les normes islamiques, ils vont développer ça. Donc ça va être visible", a préconisé Ahmat Abakar Adjid.
La plateforme de Convergence économique opte pour une stratégie participative qui positionne le secteur privé au Tchad comme moteur du développement économique. Elle a, à sa tête, Amir Adoudou Artine, président sortant de la CCIAMA et candidat à la réélection.
Selon le ministre, "certaines sociétés disent qu'elles ne travaillent pas avec la banque. L'État a fait un effort en créant le sytème islamique."
"Aujourd'hui, il y a trois ou quatre banques qui appliquent déjà ça. Tout l'argent qui est gardé à la maison, ça fait reculer le développement dans le pays", a-t-il expliqué.
"Versez-le en banque parce que ce qui est en surplus, les autres vont prendre des crédits. Dans les normes islamiques, ils vont développer ça. Donc ça va être visible", a préconisé Ahmat Abakar Adjid.
La plateforme de Convergence économique opte pour une stratégie participative qui positionne le secteur privé au Tchad comme moteur du développement économique. Elle a, à sa tête, Amir Adoudou Artine, président sortant de la CCIAMA et candidat à la réélection.