Dans la province du Lac, à Kinasserom, l’inondation des infrastructures scolaires n’est plus une catastrophe ponctuelle. C’est devenu une routine dramatique, vécue chaque année au rythme des saisons pluvieuses.
Depuis plusieurs années, les salles de classe se transforment en étendues d’eau stagnante, obligeant les élèves à abandonner l’école pendant de longs mois. « Ici, l’école ne reprend véritablement qu’en février, et encore… seulement si le niveau de l’eau le permet », confient des parents d’élèves, inquiets pour l’avenir de leurs enfants.
La ville ne compte pourtant que deux écoles primaires et un CEG, pour assurer la formation de centaines d’enfants. Mais face à ces interruptions répétées, la scolarisation recule dangereusement. Les plus jeunes se tournent vers la pêche, l’agriculture ou le petit commerce pour aider leurs familles ou simplement s’occuper.
Une situation qui risque de les éloigner définitivement des bancs de l’école. Les enseignants, impuissants, voient leurs efforts réduits à néant. « Les bâtiments sont là, nous sommes là… mais les élèves n’arrivent pas », déplore un maître d’école.
Un appel pressant à l’action
Conscient de la gravité du problème, le sous-préfet de Kinasserom Abakar Moussa Ousmane sonne l’alerte : « L’éducation est la clé qui ouvre toutes les portes. Une école qui ferme, c’est un avenir qui se brise. »
Il en appelle au gouvernement, aux partenaires techniques et financiers, aux ONG, ainsi qu’aux personnes de bonne volonté pour une intervention urgente. Des pistes de solutions existent : rehausser les bâtiments scolaires ; aménager des digues de protection ; réhabiliter ou relocaliser les écoles dans une zone non inondable ; des actions permettraient de garantir la continuité des apprentissages et de préserver l’avenir de la jeunesse.
Protéger l’école, c’est protéger Kinasserom
À Kinasserom, l’école est plus qu’un lieu d’enseignement : c’est le cœur battant de l’espoir. Si rien n’est fait, une génération entière risque d’être sacrifiée aux eaux saisonnières. Agir aujourd’hui, c’est assurer que demain, les enfants puissent apprendre, rêver et construire l’avenir de leur communauté.
Depuis plusieurs années, les salles de classe se transforment en étendues d’eau stagnante, obligeant les élèves à abandonner l’école pendant de longs mois. « Ici, l’école ne reprend véritablement qu’en février, et encore… seulement si le niveau de l’eau le permet », confient des parents d’élèves, inquiets pour l’avenir de leurs enfants.
La ville ne compte pourtant que deux écoles primaires et un CEG, pour assurer la formation de centaines d’enfants. Mais face à ces interruptions répétées, la scolarisation recule dangereusement. Les plus jeunes se tournent vers la pêche, l’agriculture ou le petit commerce pour aider leurs familles ou simplement s’occuper.
Une situation qui risque de les éloigner définitivement des bancs de l’école. Les enseignants, impuissants, voient leurs efforts réduits à néant. « Les bâtiments sont là, nous sommes là… mais les élèves n’arrivent pas », déplore un maître d’école.
Un appel pressant à l’action
Conscient de la gravité du problème, le sous-préfet de Kinasserom Abakar Moussa Ousmane sonne l’alerte : « L’éducation est la clé qui ouvre toutes les portes. Une école qui ferme, c’est un avenir qui se brise. »
Il en appelle au gouvernement, aux partenaires techniques et financiers, aux ONG, ainsi qu’aux personnes de bonne volonté pour une intervention urgente. Des pistes de solutions existent : rehausser les bâtiments scolaires ; aménager des digues de protection ; réhabiliter ou relocaliser les écoles dans une zone non inondable ; des actions permettraient de garantir la continuité des apprentissages et de préserver l’avenir de la jeunesse.
Protéger l’école, c’est protéger Kinasserom
À Kinasserom, l’école est plus qu’un lieu d’enseignement : c’est le cœur battant de l’espoir. Si rien n’est fait, une génération entière risque d’être sacrifiée aux eaux saisonnières. Agir aujourd’hui, c’est assurer que demain, les enfants puissent apprendre, rêver et construire l’avenir de leur communauté.
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Tchad : à Kinasserom, quand l’eau menace l’éducation d’une génération








