Dans la capitale tchadienne, un nouveau rituel gastronomique s’installe au rythme du coucher du soleil. Chaque soir, les abords des routes de N’Djamena s’illuminent de petites tables où s’entassent des montagnes de criquets grillés.
Une scène désormais familière, presque incontournable, tant l’odeur fumante et le croustillant irrésistible de ce mets attirent les passants. Pour de nombreux habitants, le criquet n’est plus seulement un snack occasionnel : il est devenu un véritable phénomène culinaire.
Mahamat Zéné, père de famille, ne cache pas son engouement : « Chaque soir, ma famille et moi, on doit en manger. C’est devenu notre aliment préféré. La saveur est exceptionnelle. Et tout le monde s’y intéresse », confie-t-il avec un sourire gourmand. Cette popularité grandissante fait vivre tout un réseau de jeunes vendeuses et vendeurs, comme Fatimé, 20 ans, installée à un carrefour animé de la capitale.
« La vente de criquets me génère assez de bénéfices pour subvenir à mes besoins. Les clients viennent nombreux, surtout la nuit », explique-t-elle en remuant sa poêle crépitante. Au-delà du goût et du commerce, ces points de vente improvisés sont devenus de véritables lieux de rencontre.
On y retrouve des jeunes venus partager un moment de détente, après une longue journée de travail. On discute, on débat, on plaisante…, le tout autour d’un cornet fumant de criquets grillés. Un brassage convivial qui renforce les liens sociaux et reflète l’ambiance chaleureuse des nuits ndjamenoises. En quelques mois, le criquet a ainsi réussi un exploit : s’imposer comme un symbole de plaisir, de rencontre et de convivialité dans la capitale.
Et au vu de l’engouement actuel, rien ne semble pouvoir freiner l’ascension de cette petite créature, désormais incontournable dans les rues de N’Djamena.
Une scène désormais familière, presque incontournable, tant l’odeur fumante et le croustillant irrésistible de ce mets attirent les passants. Pour de nombreux habitants, le criquet n’est plus seulement un snack occasionnel : il est devenu un véritable phénomène culinaire.
Mahamat Zéné, père de famille, ne cache pas son engouement : « Chaque soir, ma famille et moi, on doit en manger. C’est devenu notre aliment préféré. La saveur est exceptionnelle. Et tout le monde s’y intéresse », confie-t-il avec un sourire gourmand. Cette popularité grandissante fait vivre tout un réseau de jeunes vendeuses et vendeurs, comme Fatimé, 20 ans, installée à un carrefour animé de la capitale.
« La vente de criquets me génère assez de bénéfices pour subvenir à mes besoins. Les clients viennent nombreux, surtout la nuit », explique-t-elle en remuant sa poêle crépitante. Au-delà du goût et du commerce, ces points de vente improvisés sont devenus de véritables lieux de rencontre.
On y retrouve des jeunes venus partager un moment de détente, après une longue journée de travail. On discute, on débat, on plaisante…, le tout autour d’un cornet fumant de criquets grillés. Un brassage convivial qui renforce les liens sociaux et reflète l’ambiance chaleureuse des nuits ndjamenoises. En quelques mois, le criquet a ainsi réussi un exploit : s’imposer comme un symbole de plaisir, de rencontre et de convivialité dans la capitale.
Et au vu de l’engouement actuel, rien ne semble pouvoir freiner l’ascension de cette petite créature, désormais incontournable dans les rues de N’Djamena.
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Tchad : à N’Djamena, le criquet devient la nouvelle star des soirées tchadiennes








