L'affaire, qualifiée de très grave par le procureur, soulève l'indignation et met en lumière une faute professionnelle et morale majeure au sein des forces de l'ordre.
Un officier de police judiciaire (OPJ) se trouve au cœur d'une grave affaire de mœurs. Il est poursuivi pour tentative de viol sur une mineure de 12 ans. Les faits incriminés remontent à la nuit du 9 septembre 2025, et se sont déroulés au sein même des locaux de la Coordination de la Police judiciaire.
La victime, une fillette de 12 ans, avait été conduite à la coordination par l'époux d'une femme dont elle assurait le travail de ménage dans leur domicile, suite à une altercation avec sa patronne plus tôt dans la journée.
Selon le récit des faits, l'officier mis en cause aurait, au cours de la nuit, isolé la mineure dans son bureau. Il aurait ensuite fermé la porte à clé, éteint la lumière, et procédé à la déshabiller. C'est l'intervention rapide et décisive des collègues de l'officier qui a permis d'interrompre l'acte. Alertés par des bruits suspects et des signes d'alerte, ils ont été contraints de forcer la porte du bureau, sauvant ainsi la jeune victime. Immédiatement après les faits, l'officier aurait tenté d'étouffer l'affaire, cherchant à la régler à l'amiable avec ses collègues, justifiant son comportement par une simple erreur.
Le Parquet a réagi avec fermeté. Le procureur a qualifié l'affaire de « très grave » et a retenu les qualifications d'harcèlement sexuel et de viol de mineure (ou de tentative de viol, selon la qualification précise retenue à ce stade), soulignant que de tels actes sont strictement prohibés par la loi.
Le procureur a insisté sur la nature particulièrement choquante de cet acte, compte tenu du statut de l'accusé. « En tant qu'autorité de l'État, ce comportement ternit l'image des personnes ayant le même statut que lui ainsi que celle des autorités judiciaires », a-t-il déclaré. Le chef du Parquet a tenu à rassurer le public : « La loi sera appliquée dans sa plus grande rigueur contre des comportements pareils, afin que quiconque s'hasarde à se comporter ainsi soit sanctionné selon la loi ».
L'officier est actuellement inculpé et l'enquête suit son cours en vue d'un procès qui devrait être exemplaire. En attendant l'accusé médite son acte à la maison d'arrêt de Klessoum. La comparution a eu lieu au tribunal de grande instance de N’Djamena le 17 novembre 2025.
Un officier de police judiciaire (OPJ) se trouve au cœur d'une grave affaire de mœurs. Il est poursuivi pour tentative de viol sur une mineure de 12 ans. Les faits incriminés remontent à la nuit du 9 septembre 2025, et se sont déroulés au sein même des locaux de la Coordination de la Police judiciaire.
La victime, une fillette de 12 ans, avait été conduite à la coordination par l'époux d'une femme dont elle assurait le travail de ménage dans leur domicile, suite à une altercation avec sa patronne plus tôt dans la journée.
Selon le récit des faits, l'officier mis en cause aurait, au cours de la nuit, isolé la mineure dans son bureau. Il aurait ensuite fermé la porte à clé, éteint la lumière, et procédé à la déshabiller. C'est l'intervention rapide et décisive des collègues de l'officier qui a permis d'interrompre l'acte. Alertés par des bruits suspects et des signes d'alerte, ils ont été contraints de forcer la porte du bureau, sauvant ainsi la jeune victime. Immédiatement après les faits, l'officier aurait tenté d'étouffer l'affaire, cherchant à la régler à l'amiable avec ses collègues, justifiant son comportement par une simple erreur.
Le Parquet a réagi avec fermeté. Le procureur a qualifié l'affaire de « très grave » et a retenu les qualifications d'harcèlement sexuel et de viol de mineure (ou de tentative de viol, selon la qualification précise retenue à ce stade), soulignant que de tels actes sont strictement prohibés par la loi.
Le procureur a insisté sur la nature particulièrement choquante de cet acte, compte tenu du statut de l'accusé. « En tant qu'autorité de l'État, ce comportement ternit l'image des personnes ayant le même statut que lui ainsi que celle des autorités judiciaires », a-t-il déclaré. Le chef du Parquet a tenu à rassurer le public : « La loi sera appliquée dans sa plus grande rigueur contre des comportements pareils, afin que quiconque s'hasarde à se comporter ainsi soit sanctionné selon la loi ».
L'officier est actuellement inculpé et l'enquête suit son cours en vue d'un procès qui devrait être exemplaire. En attendant l'accusé médite son acte à la maison d'arrêt de Klessoum. La comparution a eu lieu au tribunal de grande instance de N’Djamena le 17 novembre 2025.
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Tchad : à N’Djamena, un officier de Police judiciaire inculpé pour tentative de viol sur mineure de 12 ans







