La ville de Sarh a abrité, ce mardi 09 septembre 2025, le lancement officiel d’un projet novateur initié par l’ONG ZONAL, en partenariat avec la mairie de Sarh et l’UNICEF.
La cérémonie s’est tenue dans les locaux du centre des jeunes Don Bosco, et a marqué le début d’un programme ambitieux destiné à renforcer la gouvernance locale de manière inclusive, participative et attentive aux droits de l’enfant.
Ce projet s’adresse principalement aux organisations de la société civile, aux associations communautaires de base, ainsi qu’aux leaders religieux et traditionnels. Il place également au cœur de ses priorités les adolescents, les jeunes, les femmes et les personnes vivant avec un handicap, identifiés comme les groupes les plus vulnérables dans le processus décisionnel local.
L’une des premières étapes de ce programme consiste à évaluer les mécanismes existants en matière de gouvernance participative. Les participants sont invités à analyser les forces et les faiblesses du système actuel, puis à proposer des pistes d’amélioration.
À terme, l’initiative vise la création d’une plateforme communautaire de redevabilité sociale, un outil qui permettra de garantir une gestion locale plus ouverte, transparente et équitable. Le maire de Sarh, Mahamat Boka Ramadan, a salué cette initiative, soulignant qu’elle contribuera à renforcer la défense des droits des enfants, des femmes et des personnes handicapées. Le coordonnateur national de l’ONG ZONAL, Houssoubé Kakiné, a rappelé que la gouvernance reste un enjeu crucial, à la fois politique et socio-économique.
Il a assuré que son organisation s’emploiera à renforcer les capacités techniques des structures locales, tout en encourageant la participation active de la société civile dans le dialogue et la prise de décisions. Le représentant du bureau sous-national de l’UNICEF à Moundou, Oumar Abdelbanat, a invité les participants à s’impliquer pleinement dans les échanges afin de mieux comprendre et prendre en compte les préoccupations des jeunes, des femmes et des personnes handicapées.
De son côté, le secrétaire général de la province du Moyen-Chari, Fidèle Kode Ngolo, a exhorté toutes les couches socioprofessionnelles à s’approprier le projet, estimant qu’il apportera un véritable soulagement aux populations vulnérables en matière de gouvernance locale.
Au cours des débats, les participants ont soulevé plusieurs préoccupations liées à la durée du projet, aux mécanismes de redevabilité sociale et à la représentation effective des acteurs clés dans les instances locales de décision. Ces discussions se poursuivront le mercredi 10 septembre 2025, afin d’apporter des réponses adaptées aux attentes exprimées.
La cérémonie s’est tenue dans les locaux du centre des jeunes Don Bosco, et a marqué le début d’un programme ambitieux destiné à renforcer la gouvernance locale de manière inclusive, participative et attentive aux droits de l’enfant.
Ce projet s’adresse principalement aux organisations de la société civile, aux associations communautaires de base, ainsi qu’aux leaders religieux et traditionnels. Il place également au cœur de ses priorités les adolescents, les jeunes, les femmes et les personnes vivant avec un handicap, identifiés comme les groupes les plus vulnérables dans le processus décisionnel local.
L’une des premières étapes de ce programme consiste à évaluer les mécanismes existants en matière de gouvernance participative. Les participants sont invités à analyser les forces et les faiblesses du système actuel, puis à proposer des pistes d’amélioration.
À terme, l’initiative vise la création d’une plateforme communautaire de redevabilité sociale, un outil qui permettra de garantir une gestion locale plus ouverte, transparente et équitable. Le maire de Sarh, Mahamat Boka Ramadan, a salué cette initiative, soulignant qu’elle contribuera à renforcer la défense des droits des enfants, des femmes et des personnes handicapées. Le coordonnateur national de l’ONG ZONAL, Houssoubé Kakiné, a rappelé que la gouvernance reste un enjeu crucial, à la fois politique et socio-économique.
Il a assuré que son organisation s’emploiera à renforcer les capacités techniques des structures locales, tout en encourageant la participation active de la société civile dans le dialogue et la prise de décisions. Le représentant du bureau sous-national de l’UNICEF à Moundou, Oumar Abdelbanat, a invité les participants à s’impliquer pleinement dans les échanges afin de mieux comprendre et prendre en compte les préoccupations des jeunes, des femmes et des personnes handicapées.
De son côté, le secrétaire général de la province du Moyen-Chari, Fidèle Kode Ngolo, a exhorté toutes les couches socioprofessionnelles à s’approprier le projet, estimant qu’il apportera un véritable soulagement aux populations vulnérables en matière de gouvernance locale.
Au cours des débats, les participants ont soulevé plusieurs préoccupations liées à la durée du projet, aux mécanismes de redevabilité sociale et à la représentation effective des acteurs clés dans les instances locales de décision. Ces discussions se poursuivront le mercredi 10 septembre 2025, afin d’apporter des réponses adaptées aux attentes exprimées.