À Sarh, le Haut-Commissariat des Nations-Unies aux Droits de l’Homme, en partenariat avec la Médiature de la République, organise depuis ce mercredi 13 août 2024, un atelier de formation sur la communication non violente, la gestion de l’information, et les messages de paix.
C’est à l’intention des journalistes et jeunes leaders communautaires venus des provinces du Moyen-Chari et du Mandoul. Cette session de deux jours s’inscrit dans le cadre du projet d’appui à la promotion et à la protection des droits humains au Tchad. Son objectif est de renforcer les capacités des participants en matière de communication non violente, de gestion de l’information et de diffusion de messages de paix.
Selon Sanda Bakary, conseiller à la Médiaturede de la République, il ne s’agit pas seulement d’apprendre de nouvelles notions, mais aussi de prendre conscience d’une responsabilité collective qui est celle de lutter contre les discours de haine.
Pour sa part, Aichatou Garba, représentant le chef de bureau du Haut-Commissariat des Nations-Unies aux Droits de l’Homme, a expliqué que cet atelier vise à s’attaquer aux causes profondes de ces discours nocifs, afin de protéger les droits humains, préserver la cohésion sociale et promouvoir la paix. Le délégué général du gouvernement auprès de la province du Moyen-Chari, Abderamane Ahmat Bargou a salué cette initiative et encouragé les participants à devenir des relais fiables de l’information.
Il les a invités à écouter, dialoguer et transmettre des messages justes, des gestes qu’il considère comme essentiels pour bâtir la paix. Il faut préciser que cette formation, qui s’achève demain jeudi 14 août 2025, réunit 60 participants : 30 journalistes et 30 jeunes leaders communautaires.
C’est à l’intention des journalistes et jeunes leaders communautaires venus des provinces du Moyen-Chari et du Mandoul. Cette session de deux jours s’inscrit dans le cadre du projet d’appui à la promotion et à la protection des droits humains au Tchad. Son objectif est de renforcer les capacités des participants en matière de communication non violente, de gestion de l’information et de diffusion de messages de paix.
Selon Sanda Bakary, conseiller à la Médiaturede de la République, il ne s’agit pas seulement d’apprendre de nouvelles notions, mais aussi de prendre conscience d’une responsabilité collective qui est celle de lutter contre les discours de haine.
Pour sa part, Aichatou Garba, représentant le chef de bureau du Haut-Commissariat des Nations-Unies aux Droits de l’Homme, a expliqué que cet atelier vise à s’attaquer aux causes profondes de ces discours nocifs, afin de protéger les droits humains, préserver la cohésion sociale et promouvoir la paix. Le délégué général du gouvernement auprès de la province du Moyen-Chari, Abderamane Ahmat Bargou a salué cette initiative et encouragé les participants à devenir des relais fiables de l’information.
Il les a invités à écouter, dialoguer et transmettre des messages justes, des gestes qu’il considère comme essentiels pour bâtir la paix. Il faut préciser que cette formation, qui s’achève demain jeudi 14 août 2025, réunit 60 participants : 30 journalistes et 30 jeunes leaders communautaires.