Dans le cadre de la célébration de la Journée Internationale de la Jeunesse, l'Association des Nations Unies du Tchad, à l'instar des autres Associations des Nations Unies, a aussi célébré cette Journée, ce lundi 12 août 2024 à Ndjamena, sous le thème : « Les compétences des jeunes au service de la paix et du développement ».
Le vice-président du comité d'organisation, Khalid Goukouni a, dans son mot introductif, expliqué qu'en cette Journée mondiale des compétences des jeunes, l’on célèbre le potentiel de la jeunesse tchadienne en tant qu'agent de la paix et du progrès. Il souligne que le Tchad fait face à de nombreux défis, dont beaucoup touchent directement les jeunes : des conflits violents qui perturbent l'éducation et la stabilité, un environnement numérique polarisé qui favorise le négativisme, une inégalité économique persistante qui limite les possibilités.
Le vice-président ajoute que ces problèmes menacent non seulement l'avenir des individus, mais aussi la stabilité globale de notre société. Mais cette génération de jeunes tchadiens est aussi résiliente, engagée et pleine de ressources. Il explique que le développement durable du Tchad repose sur l'équilibre entre les dimensions économique, sociale et environnementale.
Mahamat Haroun Adam, président de la commission ressources humaines et sciences et technologies à l'ECOSOCC-AU, explique quant à lui, que les jeunes sont toujours au centre du développement, car tous les pays du monde ont besoin de la jeunesse pour émerger. Il a également touché la question du chômage et de l’entrepreneuriat chez les jeunes, tout en demandant aux jeunes à s'investir davantage dans le domaine de l’entrepreneuriat.
Mahamat Haroun Adam demande également à la jeunesse tchadienne de cultiver l'amour et la paix, tout en évitant les discours de haine sur les réseaux sociaux. Désiré Mbairamadji, président de l'association « ADJASSA » explique pour sa part que la paix n'est pas seulement l'absence de guerre, mais aussi l'équilibre et la stabilité sociale de la population. Il ajoute aussi la situation précaire de la frustration au sein de la jeunesse.
Au cours de cette conférence, une projection d'un exposé sur le thème : « La jeunesse face au défi de la sécurité alimentaire », a été présentée par Brahim Adoum Ahmat, enseignant chercheur à l'université des sciences humaines de Ndjamena. Il explique que selon les estimations, la planète comptera 9 milliards d'habitants en 2050, et toutes ces personnes auront besoin d'une nourriture en quantité suffisante.
Par ailleurs, il souligne que 3 milliards de personnes ont connu une insécurité alimentaire modérée, ou grave, à travers le monde. Ainsi, il souhaite l'implication de la jeunesse pour mener une sensibilisation, face à ce danger.
Le vice-président du comité d'organisation, Khalid Goukouni a, dans son mot introductif, expliqué qu'en cette Journée mondiale des compétences des jeunes, l’on célèbre le potentiel de la jeunesse tchadienne en tant qu'agent de la paix et du progrès. Il souligne que le Tchad fait face à de nombreux défis, dont beaucoup touchent directement les jeunes : des conflits violents qui perturbent l'éducation et la stabilité, un environnement numérique polarisé qui favorise le négativisme, une inégalité économique persistante qui limite les possibilités.
Le vice-président ajoute que ces problèmes menacent non seulement l'avenir des individus, mais aussi la stabilité globale de notre société. Mais cette génération de jeunes tchadiens est aussi résiliente, engagée et pleine de ressources. Il explique que le développement durable du Tchad repose sur l'équilibre entre les dimensions économique, sociale et environnementale.
Mahamat Haroun Adam, président de la commission ressources humaines et sciences et technologies à l'ECOSOCC-AU, explique quant à lui, que les jeunes sont toujours au centre du développement, car tous les pays du monde ont besoin de la jeunesse pour émerger. Il a également touché la question du chômage et de l’entrepreneuriat chez les jeunes, tout en demandant aux jeunes à s'investir davantage dans le domaine de l’entrepreneuriat.
Mahamat Haroun Adam demande également à la jeunesse tchadienne de cultiver l'amour et la paix, tout en évitant les discours de haine sur les réseaux sociaux. Désiré Mbairamadji, président de l'association « ADJASSA » explique pour sa part que la paix n'est pas seulement l'absence de guerre, mais aussi l'équilibre et la stabilité sociale de la population. Il ajoute aussi la situation précaire de la frustration au sein de la jeunesse.
Au cours de cette conférence, une projection d'un exposé sur le thème : « La jeunesse face au défi de la sécurité alimentaire », a été présentée par Brahim Adoum Ahmat, enseignant chercheur à l'université des sciences humaines de Ndjamena. Il explique que selon les estimations, la planète comptera 9 milliards d'habitants en 2050, et toutes ces personnes auront besoin d'une nourriture en quantité suffisante.
Par ailleurs, il souligne que 3 milliards de personnes ont connu une insécurité alimentaire modérée, ou grave, à travers le monde. Ainsi, il souhaite l'implication de la jeunesse pour mener une sensibilisation, face à ce danger.