La capitale tchadienne connaît chaque année un calvaire routier qui se répète inlassablement avec l'arrivée de la saison des pluies. Ce qui n'était autrefois qu'une simple voie de circulation se métamorphose en un véritable parcours du combattant, laissant derrière elle un sillage de frustrations et de difficultés pour les usagers. Dès les premières averses, les routes, même les mieux entretenues, ne résistent pas. Les remblais et les couches de terre initialement déposés pour les rendre praticables se dissolvent, se muant en une boue épaisse et collante. Ce phénomène transforme rapidement les voies en pièges glissants et impraticables, créant des conditions de circulation extrêmement dangereuses.
Cette réalité est d'autant plus exacerbée par le nombre croissant d'engins à deux et quatre roues qui parcourent les rues de la ville. Les motos-taxis, les voitures, les camions, tous contribuent à remuer et à approfondir les ornières, rendant la traversée de certains quartiers quasiment impossible. Le problème ne s'arrête pas là.
L'absence de systèmes de canalisation efficaces est l'une des principales causes de cette situation catastrophique. Les eaux de pluies, ne pouvant s'écouler, stagnent sur les voies. Ces mares géantes, souvent profondes et imprévisibles, ralentissent considérablement la circulation et représentent un danger constant pour les conducteurs et les piétons, qui ne peuvent pas toujours discerner les trous ou les obstacles cachés sous la surface de l'eau.
Face à cette situation, les habitants de N'Djamena sont contraints de faire preuve d'ingéniosité et de patience. Mais pour combien de temps encore, devront-ils vivre ce scénario cauchemardesque à chaque saison des pluies ? La question d'une infrastructure routière durable et d'un système d'assainissement adéquat, reste une urgence pour la capitale tchadienne.
Cette réalité est d'autant plus exacerbée par le nombre croissant d'engins à deux et quatre roues qui parcourent les rues de la ville. Les motos-taxis, les voitures, les camions, tous contribuent à remuer et à approfondir les ornières, rendant la traversée de certains quartiers quasiment impossible. Le problème ne s'arrête pas là.
L'absence de systèmes de canalisation efficaces est l'une des principales causes de cette situation catastrophique. Les eaux de pluies, ne pouvant s'écouler, stagnent sur les voies. Ces mares géantes, souvent profondes et imprévisibles, ralentissent considérablement la circulation et représentent un danger constant pour les conducteurs et les piétons, qui ne peuvent pas toujours discerner les trous ou les obstacles cachés sous la surface de l'eau.
Face à cette situation, les habitants de N'Djamena sont contraints de faire preuve d'ingéniosité et de patience. Mais pour combien de temps encore, devront-ils vivre ce scénario cauchemardesque à chaque saison des pluies ? La question d'une infrastructure routière durable et d'un système d'assainissement adéquat, reste une urgence pour la capitale tchadienne.