Malgré l'interdiction ferme des autorités municipales, les sacs plastiques, plus connus sous le nom de « leida », continuent de proliférer dans les rues de Ndjamena. Ce fléau, véritable danger pour l'environnement, semble avoir échappé à tout contrôle, rendant vaine la volonté de la mairie de lutter contre la pollution plastique.
Le maire de la commune de N’Djamena, à travers l’arrêté n° 37 rendu public le 17 mars 2025, a informé que « sont formellement interdits dans le périmètre urbain de la ville de N’Djamena, l’importation, et l’utilisation des emballages en plastiques non biodégradables “leida” ». Ne sont autorisés que ceux qui sont biodégradables pour la préservation de l’environnement.
Où en est l'application de cette décision ? Partout dans la capitale tchadienne, des amoncellements de « leida » jonchent les rues, obstruent les canaux d'évacuation des eaux pluviales et dégradent les paysages urbains. Utilisés à profusion dans les marchés, les boutiques et même par les vendeurs ambulants, ces sacs non biodégradables sont une source majeure de pollution. Leur durée de vie, qui peut s'étendre sur plusieurs centaines d'années, en fait une menace durable pour les sols, la faune et la santé publique.
L'interdiction de ces plastiques à usage unique, autrefois perçue comme une mesure salutaire, n'est désormais qu'un souvenir lointain. Le manque de sensibilisation, la difficulté à trouver des alternatives économiques et efficaces, et l'absence de contrôle rigoureux ont permis à ces sacs de faire leur grand retour. Les commerçants, par habitude ou par contrainte financière, continuent de les distribuer, et les citoyens, faute de mieux, les utilisent quotidiennement.
Face à cette situation, une question se pose : comment les autorités peuvent-elles inverser la tendance ? Une simple interdiction ne suffit visiblement pas. Il est urgent de mettre en place une stratégie plus globale et inclusive, qui combine la sensibilisation des populations, l'encouragement des alternatives durables notamment, sacs en tissu, paniers, etc., et le renforcement des contrôles sur la chaîne d'approvisionnement et de distribution.
N’Djamena a besoin d'une action concrète pour se débarrasser de ces déchets polluants. L'avenir de l'environnement de la ville et la santé de ses habitants en dépendent.
Le maire de la commune de N’Djamena, à travers l’arrêté n° 37 rendu public le 17 mars 2025, a informé que « sont formellement interdits dans le périmètre urbain de la ville de N’Djamena, l’importation, et l’utilisation des emballages en plastiques non biodégradables “leida” ». Ne sont autorisés que ceux qui sont biodégradables pour la préservation de l’environnement.
Où en est l'application de cette décision ? Partout dans la capitale tchadienne, des amoncellements de « leida » jonchent les rues, obstruent les canaux d'évacuation des eaux pluviales et dégradent les paysages urbains. Utilisés à profusion dans les marchés, les boutiques et même par les vendeurs ambulants, ces sacs non biodégradables sont une source majeure de pollution. Leur durée de vie, qui peut s'étendre sur plusieurs centaines d'années, en fait une menace durable pour les sols, la faune et la santé publique.
L'interdiction de ces plastiques à usage unique, autrefois perçue comme une mesure salutaire, n'est désormais qu'un souvenir lointain. Le manque de sensibilisation, la difficulté à trouver des alternatives économiques et efficaces, et l'absence de contrôle rigoureux ont permis à ces sacs de faire leur grand retour. Les commerçants, par habitude ou par contrainte financière, continuent de les distribuer, et les citoyens, faute de mieux, les utilisent quotidiennement.
Face à cette situation, une question se pose : comment les autorités peuvent-elles inverser la tendance ? Une simple interdiction ne suffit visiblement pas. Il est urgent de mettre en place une stratégie plus globale et inclusive, qui combine la sensibilisation des populations, l'encouragement des alternatives durables notamment, sacs en tissu, paniers, etc., et le renforcement des contrôles sur la chaîne d'approvisionnement et de distribution.
N’Djamena a besoin d'une action concrète pour se débarrasser de ces déchets polluants. L'avenir de l'environnement de la ville et la santé de ses habitants en dépendent.