La deuxième phase du projet « Éducation Positive et Protection de l'Enfant » a été officiellement lancée, le 11 décembre 2025 par Me Adamou Zouadaï, notaire et conseiller juridique du ministre d'Etat, ministre de la Femme et de la Petite enfance, représentant la ministre.
La cérémonie a eu lieu au CEFOD, marquant une étape significative dans l'engagement du Tchad en faveur du bien-être et du développement de sa jeunesse. Le projet est axé sur le thème : « promotion d'une éducation positive et mise en place d'une politique interne de protection de l'enfant dans des établissements scolaires catholiques du Diocèse de N'djamena et Laï au Tchad. »
L'événement, lancé par Me Adamou Zouadaï, représentant du ministère de la Femme, de la Famille et de la Protection de l'enfance, a mis en lumière l'importance cruciale de la protection de l'enfance, considérée non seulement comme une obligation morale, mais comme un impératif national de développement durable.
L'un des messages clés délivrés lors de la cérémonie est le rôle central de l'école, identifiée comme l'un des trois piliers fondamentaux de la protection, aux côtés de la famille et de la communauté. L'école doit être, non seulement un espace d'apprentissage, mais aussi un lieu de sécurité, de bien-être, d'écoute et de construction de la personnalité.
Le représentant du ministère de tutelle a souligné son intérêt particulier pour le projet, qui : propose des méthodes éducatives non violentes ; renforce la prévention des violences en milieu scolaire ; développe les capacités des enseignants, inspecteurs et parents ; favorise l'intégration des écoles au système national de protection.
Selon lui, la réussite de ce projet repose sur une synergie essentielle entre l'État, l'école, la communauté et la société civile. Il a salué l'intégration des mécanismes existants de protection de l'enfant et prévoit une collaboration étroite avec les services sociaux, la justice et les structures éducatives pour garantir des résultats durables. Au nom du ministère, il a également adressé ses félicitations et sa gratitude aux partenaires techniques et financiers pour leur engagement constant en faveur d'une éducation de qualité, inclusive, protectrice et respectueuse des droits de l'enfant.
Parmi eux, il s'agit de :
Les Frères des Écoles Chrétiennes ;
Les Directions Diocésaines de l'Enseignement Catholique de N'Djamena et de Laï ;
L'ONG CARLA, la Salle Fondation ;
Le Bureau international Catholique de l'Enfance.
Les acteurs clés ont reçu un appel à l'action précis :
Aux écoles partenaires : adopter la politique de protection interne et la discipline positive pour devenir des modèles nationaux.
Aux parents : rappeler que leur rôle est irremplaçable pour la sécurité affective et physique des enfants.
Aux élèves : être reconnus comme les acteurs centraux du projet, dont la voix et le bien-être sont prioritaires.
C'est ainsi que la deuxième phase du projet « Éducation Positive et Protection de l'Enfant » a été officiellement lancée, portant l'ambition de construire un Tchad où chaque enfant grandit protégé, respecté, écouté et valorisé.
Selon Gui-Blaise Kamem, représentant du frère visiteur provincial du district d'Afrique centrale et proviseur du lycée Saint Joseph de Kelo, par ailleurs chef du projet, le thème engage deux niveaux, notamment, réinventer les pratiques pédagogiques pour mieux répondre aux défis éducatifs actuels, en plaçant l'élève au centre, avec des méthodes actives, inclusives et bienveillantes, et d'autres part, institutionnaliser la protection de l'enfant, en dotant chaque établissement d'un cadre clair, formalisé, et applicable pour prévenir toute forme de violence ou d'abus.
La cérémonie a eu lieu au CEFOD, marquant une étape significative dans l'engagement du Tchad en faveur du bien-être et du développement de sa jeunesse. Le projet est axé sur le thème : « promotion d'une éducation positive et mise en place d'une politique interne de protection de l'enfant dans des établissements scolaires catholiques du Diocèse de N'djamena et Laï au Tchad. »
L'événement, lancé par Me Adamou Zouadaï, représentant du ministère de la Femme, de la Famille et de la Protection de l'enfance, a mis en lumière l'importance cruciale de la protection de l'enfance, considérée non seulement comme une obligation morale, mais comme un impératif national de développement durable.
L'un des messages clés délivrés lors de la cérémonie est le rôle central de l'école, identifiée comme l'un des trois piliers fondamentaux de la protection, aux côtés de la famille et de la communauté. L'école doit être, non seulement un espace d'apprentissage, mais aussi un lieu de sécurité, de bien-être, d'écoute et de construction de la personnalité.
Le représentant du ministère de tutelle a souligné son intérêt particulier pour le projet, qui : propose des méthodes éducatives non violentes ; renforce la prévention des violences en milieu scolaire ; développe les capacités des enseignants, inspecteurs et parents ; favorise l'intégration des écoles au système national de protection.
Selon lui, la réussite de ce projet repose sur une synergie essentielle entre l'État, l'école, la communauté et la société civile. Il a salué l'intégration des mécanismes existants de protection de l'enfant et prévoit une collaboration étroite avec les services sociaux, la justice et les structures éducatives pour garantir des résultats durables. Au nom du ministère, il a également adressé ses félicitations et sa gratitude aux partenaires techniques et financiers pour leur engagement constant en faveur d'une éducation de qualité, inclusive, protectrice et respectueuse des droits de l'enfant.
Parmi eux, il s'agit de :
Les Frères des Écoles Chrétiennes ;
Les Directions Diocésaines de l'Enseignement Catholique de N'Djamena et de Laï ;
L'ONG CARLA, la Salle Fondation ;
Le Bureau international Catholique de l'Enfance.
Les acteurs clés ont reçu un appel à l'action précis :
Aux écoles partenaires : adopter la politique de protection interne et la discipline positive pour devenir des modèles nationaux.
Aux parents : rappeler que leur rôle est irremplaçable pour la sécurité affective et physique des enfants.
Aux élèves : être reconnus comme les acteurs centraux du projet, dont la voix et le bien-être sont prioritaires.
C'est ainsi que la deuxième phase du projet « Éducation Positive et Protection de l'Enfant » a été officiellement lancée, portant l'ambition de construire un Tchad où chaque enfant grandit protégé, respecté, écouté et valorisé.
Selon Gui-Blaise Kamem, représentant du frère visiteur provincial du district d'Afrique centrale et proviseur du lycée Saint Joseph de Kelo, par ailleurs chef du projet, le thème engage deux niveaux, notamment, réinventer les pratiques pédagogiques pour mieux répondre aux défis éducatifs actuels, en plaçant l'élève au centre, avec des méthodes actives, inclusives et bienveillantes, et d'autres part, institutionnaliser la protection de l'enfant, en dotant chaque établissement d'un cadre clair, formalisé, et applicable pour prévenir toute forme de violence ou d'abus.
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Tchad : lancement de la deuxième Phase du Projet « Éducation Positive et Protection de l'Enfant »








