
Depuis presque une semaine, le marché central de la ville de N'Djamena est plongé dans une obscurité qui paralyse les activités commerciales des jeunes entrepreneurs. La cause exacte de ces coupures prolongées reste floue pour beaucoup de commerçants, mais les conséquences sont bien réelles pour ces derniers.
À l'entrée du marché, le ronflement des groupes électrogènes confirme le manque réel d'énergie permettant d'alimenter ce lieu commercial. Les commerçants, cherchant les voies et moyens pour maintenir leurs activités, sont obligés d'utiliser les groupes électrogènes comme source d'énergie.
« Nous payons nos factures d'électricité chaque mois, mais voilà deux semaines que tout est à l’arrêt. Sans courant, je ne peux rien faire pour conserver les produits comme il se doit », déplore un pharmacien du marché central, qui préfère rester anonyme. « Sans courant, il est impossible de conserver correctement les produits sensibles », s'insurge un vendeur de produits frais, contraint de jeter une partie de sa marchandise périssable.
« Sans réfrigération, mes pertes sont énormes. Comment voulez-vous que je nourrisse ma famille dans ces conditions ? ». C’est une perte sèche pour les entrepreneurs et un risque pour la santé publique.
Abakar, un autre commerçant rencontré, exprime sa frustration au micro de Alwida info : « Nous payons régulièrement nos factures d'électricité. Le problème vient du comité de gestion. Nous payons 2500 FCFA par embole, mais les clients viennent, constatent que tout est sombre, et repartent sans rien acheter. C'est un manque à gagner pour nous. »
Les descentes des autorités sur le terrain, censées garantir le bon fonctionnement de l'usine, semblent avoir été vaines. Pour les commerçants, ce délestage donne un sentiment d'abandon, une preuve supplémentaire que les promesses de progrès peinent à se traduire en réalité.
Ces coupures surviennent alors même que des autorités ont effectué des descentes sur le terrain, en vue d’assurer le bon fonctionnement de l'usine qui devrait moderniser la gestion énergétique du pays. La persistance des délestages donne une mauvaise image à la capitale. Face à cette situation précaire, les commerçants redoublent d'efforts pour survivre dans l'obscurité.
À l'entrée du marché, le ronflement des groupes électrogènes confirme le manque réel d'énergie permettant d'alimenter ce lieu commercial. Les commerçants, cherchant les voies et moyens pour maintenir leurs activités, sont obligés d'utiliser les groupes électrogènes comme source d'énergie.
« Nous payons nos factures d'électricité chaque mois, mais voilà deux semaines que tout est à l’arrêt. Sans courant, je ne peux rien faire pour conserver les produits comme il se doit », déplore un pharmacien du marché central, qui préfère rester anonyme. « Sans courant, il est impossible de conserver correctement les produits sensibles », s'insurge un vendeur de produits frais, contraint de jeter une partie de sa marchandise périssable.
« Sans réfrigération, mes pertes sont énormes. Comment voulez-vous que je nourrisse ma famille dans ces conditions ? ». C’est une perte sèche pour les entrepreneurs et un risque pour la santé publique.
Abakar, un autre commerçant rencontré, exprime sa frustration au micro de Alwida info : « Nous payons régulièrement nos factures d'électricité. Le problème vient du comité de gestion. Nous payons 2500 FCFA par embole, mais les clients viennent, constatent que tout est sombre, et repartent sans rien acheter. C'est un manque à gagner pour nous. »
Les descentes des autorités sur le terrain, censées garantir le bon fonctionnement de l'usine, semblent avoir été vaines. Pour les commerçants, ce délestage donne un sentiment d'abandon, une preuve supplémentaire que les promesses de progrès peinent à se traduire en réalité.
Ces coupures surviennent alors même que des autorités ont effectué des descentes sur le terrain, en vue d’assurer le bon fonctionnement de l'usine qui devrait moderniser la gestion énergétique du pays. La persistance des délestages donne une mauvaise image à la capitale. Face à cette situation précaire, les commerçants redoublent d'efforts pour survivre dans l'obscurité.