Depuis le 24 août 2025, le Tchad est endeuillé par une série de crimes d’une rare barbarie visant principalement des femmes et des enfants.
Face à ces atrocités, le ministère de la Femme et de la Petite Enfance a publié un communiqué le lundi 1er septembre 2025, condamnant « avec la plus grande fermeté », ces actes qu’il qualifie d’atteinte à l’humanité et de violation flagrante de la Constitution, qui proclame la sacralité de la personne humaine.
Dans son message, la ministre d’État, Mme Kitoko Gata Ngoulou, réaffirme l’engagement du gouvernement, en synergie avec la Justice et les Forces de sécurité, à : poursuivre sans relâche tous les coupables, juger sans délai auteurs et complices, appliquer la loi avec la plus grande rigueur.
« Aucune excuse, aucune circonstance atténuante ne saurait être tolérée. Face à ce fléau, se taire, c’est être complice », souligne le communiqué. Le ministère appelle par ailleurs chaque citoyen à la vigilance, à la coopération, et à l’unité nationale pour protéger les mères, les sœurs et les enfants.
Face à ces atrocités, le ministère de la Femme et de la Petite Enfance a publié un communiqué le lundi 1er septembre 2025, condamnant « avec la plus grande fermeté », ces actes qu’il qualifie d’atteinte à l’humanité et de violation flagrante de la Constitution, qui proclame la sacralité de la personne humaine.
Dans son message, la ministre d’État, Mme Kitoko Gata Ngoulou, réaffirme l’engagement du gouvernement, en synergie avec la Justice et les Forces de sécurité, à : poursuivre sans relâche tous les coupables, juger sans délai auteurs et complices, appliquer la loi avec la plus grande rigueur.
« Aucune excuse, aucune circonstance atténuante ne saurait être tolérée. Face à ce fléau, se taire, c’est être complice », souligne le communiqué. Le ministère appelle par ailleurs chaque citoyen à la vigilance, à la coopération, et à l’unité nationale pour protéger les mères, les sœurs et les enfants.