Le président du Sénat, Dr Haroun Kabadi a prononcé un discours mémorable le 10 septembre 2025, lors de la cérémonie officielle de l'ouverture solennelle de la deuxième session ordinaire de l'année 2025. Dans son allocution, il a lancé un appel pressant à l’unité et à la mise en œuvre de réformes profondes, face aux défis contemporains que traverse le pays.
L’unité nationale comme socle
Dès l’entame de son allocution, le président du Sénat a tenu à rappeler que la stabilité du pays ne saurait être assurée sans la cohésion de toutes ses composantes. « En ces temps difficiles, il est impératif que nous mettions de côté nos divergences pour travailler ensemble au bien-être de notre nation », a-t-il martelé, sous une salve d’applaudissements. Ce message d’unité visait à transcender les clivages politiques et communautaires, pour bâtir un front commun face aux crises.
Des défis multiples et urgents
Au cœur de son discours, le président n’a pas éludé les réalités que vit le pays. Il a évoqué la crise économique qui fragilise les ménages, les tensions sociales qui s’exacerbent dans plusieurs régions, ainsi que les enjeux environnementaux qui menacent l’avenir. Selon lui, « nous devons être proactifs et non réactifs. L’avenir de notre pays dépend de notre capacité à anticiper et à résoudre ces crises ». Un avertissement clair sur l’urgence de changer de cap et de gouvernance.
Des réformes pour redresser le pays
Le moment fort de l’intervention a été consacré à l’annonce de réformes jugées indispensables. Parmi elles, la refonte du système éducatif, afin de mieux préparer la jeunesse aux réalités du marché du travail. Il a également insisté sur la nécessité de moderniser les infrastructures, considérées comme un moteur de croissance et de compétitivité, tout en mettant l’accent sur le renforcement de la gouvernance publique. « Ces réformes ne sont pas seulement nécessaires, elles sont urgentes. Nous devons agir maintenant pour garantir un avenir meilleur pour les générations à venir », a-t-il déclaré avec gravité.
Un discours porteur d’espoir
En conclusion, le président du Sénat a lancé un appel direct aux citoyens pour qu’ils s’approprient ce processus de changement. « Chaque voix compte, chaque action compte. Ensemble, nous pouvons bâtir une nation plus forte et plus résiliente », a-t-il affirmé, déclenchant une ovation debout. Ce discours, salué par plusieurs observateurs politiques, ouvre la voie à un dialogue national renouvelé. Reste à savoir si les paroles fortes prononcées au Palais du Sénat se traduiront par des actes concrets capables de transformer le paysage socio-économique et politique du pays.
La cérémonie s'est déroulée en présence d'une pléthore d'invités, parmi lesquels figuraient le ministre d'État, ministre de l'Administration du territoire et de la Décentralisation, Limane Mahamat, représentant le Premier ministre, chef du Gouvernement, ainsi que le président de l'Assemblée nationale, Ali Kolotou Tchaïmi.
Étaient également présents, les présidents des Grandes Institutions de la République, des membres éminents du gouvernement, des représentants d'Organisations internationales et non gouvernementales, ainsi que des sénateurs et députés.
L’unité nationale comme socle
Dès l’entame de son allocution, le président du Sénat a tenu à rappeler que la stabilité du pays ne saurait être assurée sans la cohésion de toutes ses composantes. « En ces temps difficiles, il est impératif que nous mettions de côté nos divergences pour travailler ensemble au bien-être de notre nation », a-t-il martelé, sous une salve d’applaudissements. Ce message d’unité visait à transcender les clivages politiques et communautaires, pour bâtir un front commun face aux crises.
Des défis multiples et urgents
Au cœur de son discours, le président n’a pas éludé les réalités que vit le pays. Il a évoqué la crise économique qui fragilise les ménages, les tensions sociales qui s’exacerbent dans plusieurs régions, ainsi que les enjeux environnementaux qui menacent l’avenir. Selon lui, « nous devons être proactifs et non réactifs. L’avenir de notre pays dépend de notre capacité à anticiper et à résoudre ces crises ». Un avertissement clair sur l’urgence de changer de cap et de gouvernance.
Des réformes pour redresser le pays
Le moment fort de l’intervention a été consacré à l’annonce de réformes jugées indispensables. Parmi elles, la refonte du système éducatif, afin de mieux préparer la jeunesse aux réalités du marché du travail. Il a également insisté sur la nécessité de moderniser les infrastructures, considérées comme un moteur de croissance et de compétitivité, tout en mettant l’accent sur le renforcement de la gouvernance publique. « Ces réformes ne sont pas seulement nécessaires, elles sont urgentes. Nous devons agir maintenant pour garantir un avenir meilleur pour les générations à venir », a-t-il déclaré avec gravité.
Un discours porteur d’espoir
En conclusion, le président du Sénat a lancé un appel direct aux citoyens pour qu’ils s’approprient ce processus de changement. « Chaque voix compte, chaque action compte. Ensemble, nous pouvons bâtir une nation plus forte et plus résiliente », a-t-il affirmé, déclenchant une ovation debout. Ce discours, salué par plusieurs observateurs politiques, ouvre la voie à un dialogue national renouvelé. Reste à savoir si les paroles fortes prononcées au Palais du Sénat se traduiront par des actes concrets capables de transformer le paysage socio-économique et politique du pays.
La cérémonie s'est déroulée en présence d'une pléthore d'invités, parmi lesquels figuraient le ministre d'État, ministre de l'Administration du territoire et de la Décentralisation, Limane Mahamat, représentant le Premier ministre, chef du Gouvernement, ainsi que le président de l'Assemblée nationale, Ali Kolotou Tchaïmi.
Étaient également présents, les présidents des Grandes Institutions de la République, des membres éminents du gouvernement, des représentants d'Organisations internationales et non gouvernementales, ainsi que des sénateurs et députés.