Un drame s'est déroulé, coûtant la vie à un homme, victime de son propre compagnon, pour une histoire d'argent et d'alcool. Le meurtrier présumé, père de quatre enfants, a mortellement poignardé un compagnon de famille, à la suite d'une dispute déclenchée par une boisson non livrée.
Selon les éléments du dossier, les faits remontent à 2022. L'accusé aurait confié la somme de 10 000 francs à la victime pour qu'il lui achète de la boisson. Envoyé en commission vers 13 heures, le compagnon n'est pas revenu. Irrité par l'attente, l'accusé s'est lancé à sa recherche et l'aurait retrouvé dans un débit de boisson.
N'ayant ni son argent, ni la boisson désirée, une altercation a éclaté entre les deux personnes. Dans un accès de colère, l'agresseur aurait mortellement poignardé son ami, qui a succombé à ses blessures. L'accusé n'a pas nié les faits lors de son interrogatoire devant le tribunal.
Depuis son arrestation, il est incarcéré à la Maison d'Arrêt de Klessoum. Son état de santé s'est considérablement dégradé durant sa détention, au point où il est devenu aveugle. Dans un élan d'humanisme, un avocat s'est porté volontaire pour plaider la cause de l'accusé devant la justice.
Le but de cette démarche est de lui permettre d'obtenir une libération, ou une suspension de peine pour raison médicale, afin de recevoir les soins appropriés. L'avocat, tout en reconnaissant la gravité de l'acte criminel et son caractère intolérable, met en avant l'état de l'accusé.
L'accusé a justifié qu'une procédure de réparation a été déclenchée, mais il ne s'est jamais présenté devant le juge depuis trois ans. Le tribunal a renvoyé l'affaire, exigeant la présence de la famille endeuillée lors de la prochaine audience.
Selon les éléments du dossier, les faits remontent à 2022. L'accusé aurait confié la somme de 10 000 francs à la victime pour qu'il lui achète de la boisson. Envoyé en commission vers 13 heures, le compagnon n'est pas revenu. Irrité par l'attente, l'accusé s'est lancé à sa recherche et l'aurait retrouvé dans un débit de boisson.
N'ayant ni son argent, ni la boisson désirée, une altercation a éclaté entre les deux personnes. Dans un accès de colère, l'agresseur aurait mortellement poignardé son ami, qui a succombé à ses blessures. L'accusé n'a pas nié les faits lors de son interrogatoire devant le tribunal.
Depuis son arrestation, il est incarcéré à la Maison d'Arrêt de Klessoum. Son état de santé s'est considérablement dégradé durant sa détention, au point où il est devenu aveugle. Dans un élan d'humanisme, un avocat s'est porté volontaire pour plaider la cause de l'accusé devant la justice.
Le but de cette démarche est de lui permettre d'obtenir une libération, ou une suspension de peine pour raison médicale, afin de recevoir les soins appropriés. L'avocat, tout en reconnaissant la gravité de l'acte criminel et son caractère intolérable, met en avant l'état de l'accusé.
L'accusé a justifié qu'une procédure de réparation a été déclenchée, mais il ne s'est jamais présenté devant le juge depuis trois ans. Le tribunal a renvoyé l'affaire, exigeant la présence de la famille endeuillée lors de la prochaine audience.
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Tchad : un homme poignarde mortellement son compagnon pour une affaire de boisson







