Au Tchad, la cherté de la vie est devenue une réalité quotidienne qui touche toutes les couches sociales. Mais pour la jeunesse, cette situation pèse particulièrement lourd sur les rêves, les ambitions et la motivation à construire un avenir meilleur.
Entre découragement, débrouillardise et perte de repères, beaucoup de jeunes voient leurs espoirs freinés par des difficultés économiques persistantes.
Des conditions économiques étouffantes
Depuis plusieurs mois, les prix des denrées alimentaires, du transport et du logement ne cessent d’augmenter. À N’Djamena comme dans les autres villes, le coût d’un simple repas, d’un sac de riz ou d’un litre d’essence a presque doublé. Les jeunes diplômés sans emploi stable sont les plus affectés. Certains peinent à s’inscrire dans les formations professionnelles, d’autres abandonnent leurs études faute de moyens. La cherté de la vie les pousse à revoir leurs priorités : « manger avant de rêver ».
Des ambitions brisées ou retardées
Beaucoup de jeunes rêvent d’entreprendre, d’étudier ou de se lancer dans des projets innovants. Mais sans soutien financier, leurs ambitions restent souvent à l’état de projets. Les petites économies prévues pour lancer un commerce, ou une activité, sont vite englouties par les dépenses quotidiennes. Par exemple, un jeune diplômé qui souhaitait ouvrir un atelier de couture peut renoncer, car le coût du matériel a triplé. D’autres envisagent l’exil, pensant trouver à l’étranger de meilleures opportunités pour réaliser leurs rêves.
La débrouillardise comme survie
Face à cette situation, la plupart des jeunes Tchadiens développent un esprit de débrouillardise. Certains se lancent dans le petit commerce, la mécanique, la coiffure ou la vente de produits de seconde main pour subvenir à leurs besoins. D’autres s’unissent en associations ou coopératives pour s’entraider. Cette créativité démontre la résilience de la jeunesse tchadienne, mais elle ne remplace pas un véritable plan de développement économique capable de soutenir leurs ambitions.
Un appel à la responsabilité collective
La cherté de la vie n’est pas qu’un problème de pouvoir d’achat : c’est une menace pour l’avenir du pays. Une jeunesse découragée est une nation sans moteur. Il est donc urgent que les autorités, les ONG et le secteur privé s’unissent pour soutenir les jeunes à travers : des programmes d’emploi et de financement adaptés, des formations gratuites en entrepreneuriat et des mesures concrètes pour stabiliser les prix des produits de base.
Malgré la dureté du quotidien, les jeunes Tchadiens continuent de rêver, d’espérer et de se battre. Mais pour que leurs ambitions deviennent réalité, il faut leur donner un environnement économique plus stable et des perspectives concrètes. Car une jeunesse motivée et soutenue est la plus grande richesse du Tchad.
Entre découragement, débrouillardise et perte de repères, beaucoup de jeunes voient leurs espoirs freinés par des difficultés économiques persistantes.
Des conditions économiques étouffantes
Depuis plusieurs mois, les prix des denrées alimentaires, du transport et du logement ne cessent d’augmenter. À N’Djamena comme dans les autres villes, le coût d’un simple repas, d’un sac de riz ou d’un litre d’essence a presque doublé. Les jeunes diplômés sans emploi stable sont les plus affectés. Certains peinent à s’inscrire dans les formations professionnelles, d’autres abandonnent leurs études faute de moyens. La cherté de la vie les pousse à revoir leurs priorités : « manger avant de rêver ».
Des ambitions brisées ou retardées
Beaucoup de jeunes rêvent d’entreprendre, d’étudier ou de se lancer dans des projets innovants. Mais sans soutien financier, leurs ambitions restent souvent à l’état de projets. Les petites économies prévues pour lancer un commerce, ou une activité, sont vite englouties par les dépenses quotidiennes. Par exemple, un jeune diplômé qui souhaitait ouvrir un atelier de couture peut renoncer, car le coût du matériel a triplé. D’autres envisagent l’exil, pensant trouver à l’étranger de meilleures opportunités pour réaliser leurs rêves.
La débrouillardise comme survie
Face à cette situation, la plupart des jeunes Tchadiens développent un esprit de débrouillardise. Certains se lancent dans le petit commerce, la mécanique, la coiffure ou la vente de produits de seconde main pour subvenir à leurs besoins. D’autres s’unissent en associations ou coopératives pour s’entraider. Cette créativité démontre la résilience de la jeunesse tchadienne, mais elle ne remplace pas un véritable plan de développement économique capable de soutenir leurs ambitions.
Un appel à la responsabilité collective
La cherté de la vie n’est pas qu’un problème de pouvoir d’achat : c’est une menace pour l’avenir du pays. Une jeunesse découragée est une nation sans moteur. Il est donc urgent que les autorités, les ONG et le secteur privé s’unissent pour soutenir les jeunes à travers : des programmes d’emploi et de financement adaptés, des formations gratuites en entrepreneuriat et des mesures concrètes pour stabiliser les prix des produits de base.
Malgré la dureté du quotidien, les jeunes Tchadiens continuent de rêver, d’espérer et de se battre. Mais pour que leurs ambitions deviennent réalité, il faut leur donner un environnement économique plus stable et des perspectives concrètes. Car une jeunesse motivée et soutenue est la plus grande richesse du Tchad.