
Le sous-préfet de Dagour, Abakar Hamid Idriss, s’est rendu ce mercredi 10 septembre 2025 au village Am-Djabir, situé à 17 km à l’est de Dagour, afin de s’imprégner de la situation sanitaire préoccupante que traverse la population.
Suite aux récentes inondations, les habitants font face à de nombreuses difficultés sanitaires, et des mécontentements se font entendre au sein de la communauté. C’est dans ce contexte que le sous-préfet a décidé de se rendre sur place pour constater la réalité du terrain.
Sur place, il a découvert que le Centre de santé d’Am-Djabir a été gravement endommagé par des vents violents et des pluies torrentielles. Le hangar abritant l’unité de prise en charge de la malnutrition a été totalement détruit. Lors de ses échanges avec les responsables sanitaires, plusieurs manquements critiques ont été relevés.
Le service d’accouchement, géré par une sage-femme, ne dispose pas de kit d’accouchement. La salle d’accouchement sert également de bureau, faute d’espace. Le centre souffre d’un manque de produits médicaux et de graves insuffisances en matière d’hygiène.
Face à cette situation alarmante, Abakar Hamid Idriss s’est engagé à transmettre les doléances aux services compétents, afin que des solutions concrètes soient apportées pour soulager les souffrances des populations.
Suite aux récentes inondations, les habitants font face à de nombreuses difficultés sanitaires, et des mécontentements se font entendre au sein de la communauté. C’est dans ce contexte que le sous-préfet a décidé de se rendre sur place pour constater la réalité du terrain.
Sur place, il a découvert que le Centre de santé d’Am-Djabir a été gravement endommagé par des vents violents et des pluies torrentielles. Le hangar abritant l’unité de prise en charge de la malnutrition a été totalement détruit. Lors de ses échanges avec les responsables sanitaires, plusieurs manquements critiques ont été relevés.
Le service d’accouchement, géré par une sage-femme, ne dispose pas de kit d’accouchement. La salle d’accouchement sert également de bureau, faute d’espace. Le centre souffre d’un manque de produits médicaux et de graves insuffisances en matière d’hygiène.
Face à cette situation alarmante, Abakar Hamid Idriss s’est engagé à transmettre les doléances aux services compétents, afin que des solutions concrètes soient apportées pour soulager les souffrances des populations.