Quatre Chefs d’État et de Gouvernement et plusieurs représentants des pays membres de la CEEAC, ont pris part aux assises de la conférence extraordinaire des chefs d'Etat et de gouvernement de la CEEAC consacrées essentiellement à la situation sécuritaire du Tchad, consécutive au décès tragique du Président Idriss Déby Itno.
Au terme de cette réunion de haut niveau, les chefs d’Etat et de gouvernement ont pris acte de la suspension de la Constitution du Tchad de 2018 et de la formation du Conseil militaire de transition, tout en lançant un appel pour la mise en place d’un gouvernement dirigé par un civil. Ils ont, par là même occasion invité les nouvelles autorités tchadiennes et le peuple tchadien à prioriser la réconciliation et au dialogue.
Dans le souci de préserver la paix et la stabilité au sein de la Communauté, le sommet de Brazzaville a appelé les autorités de la transition à organiser les élections à la fin de celle-ci, c’est-à-dire dans dix-huit mois, et à créer pour cela les conditions d’un dialogue national inclusif en vue de consolider les bases de l’unité du pays. C’est pour autant dire que le Tchad n’est pas exclu des instances de la CEEAC et bénéficie de l’entière sollicitude de celles-ci.
Les dirigeants de la CEEAC, à partir de Brazzaville, n’ont pas manqué de réaffirmer le principe du rejet de la prise du pouvoir par des voies non démocratiques, tout en soulignant l’exception que fait le Tchad, dans ce sens car le Maréchal Idriss Déby Itno avait trouvé la mort dans les circonstances d’une agression perpétrée par des forces hostiles téléguidées de l’extérieur.
Sur cette base, les participants à ce sommet extraordinaire ont dénoncé “l’activité du mercenariat” qui pourrait déstabiliser le Tchad mais aussi d’autres pays de la sous-région.
S’agissant l’attaque meurtrière survenue le 30 mai 2021, au Sud du Tchad, l’hôte du sommet, le congolais Dénis Sassou-N’Guesso a salué les autorités tchadiennes et centrafricaines qui ont choisi la voie du dialogue et de la paix (…) pour résoudre l’incident grave qui s’est produit à la frontière entre les deux pays.
La même déclaration de Brazzaville lance un appel en direction des partenaires techniques et financiers, afin d’apporter un soutien à la transition au Tchad
Au terme de cette réunion de haut niveau, les chefs d’Etat et de gouvernement ont pris acte de la suspension de la Constitution du Tchad de 2018 et de la formation du Conseil militaire de transition, tout en lançant un appel pour la mise en place d’un gouvernement dirigé par un civil. Ils ont, par là même occasion invité les nouvelles autorités tchadiennes et le peuple tchadien à prioriser la réconciliation et au dialogue.
Dans le souci de préserver la paix et la stabilité au sein de la Communauté, le sommet de Brazzaville a appelé les autorités de la transition à organiser les élections à la fin de celle-ci, c’est-à-dire dans dix-huit mois, et à créer pour cela les conditions d’un dialogue national inclusif en vue de consolider les bases de l’unité du pays. C’est pour autant dire que le Tchad n’est pas exclu des instances de la CEEAC et bénéficie de l’entière sollicitude de celles-ci.
Les dirigeants de la CEEAC, à partir de Brazzaville, n’ont pas manqué de réaffirmer le principe du rejet de la prise du pouvoir par des voies non démocratiques, tout en soulignant l’exception que fait le Tchad, dans ce sens car le Maréchal Idriss Déby Itno avait trouvé la mort dans les circonstances d’une agression perpétrée par des forces hostiles téléguidées de l’extérieur.
Sur cette base, les participants à ce sommet extraordinaire ont dénoncé “l’activité du mercenariat” qui pourrait déstabiliser le Tchad mais aussi d’autres pays de la sous-région.
S’agissant l’attaque meurtrière survenue le 30 mai 2021, au Sud du Tchad, l’hôte du sommet, le congolais Dénis Sassou-N’Guesso a salué les autorités tchadiennes et centrafricaines qui ont choisi la voie du dialogue et de la paix (…) pour résoudre l’incident grave qui s’est produit à la frontière entre les deux pays.
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