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INTERNATIONAL

VEYZO victime des Généraux Centrafricains.


Alwihda Info | Par CCPR - 10 Juin 2016


Rendons hommage à toutes les vies humaines prélevées avec ou contre le chronogramme des Nations Unies.


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VEYZO s'est fait massacré la gueule par les Généraux Centrafricains en manque de métier depuis que les Nations Unies ont décidé de supprimer les FACA. Dans un pays normal, le Général Docteur GUITIZIA Romain devait être ramené au rang de soldat de 1ère classe et suspendu par le collège des Médecins. Après tout, peut-être il est formé dans la brousse, la savane comme Moussa Mohamed Dhaffane, Noureddine Adam, Ndalé, Puissance12, et donc sans matricule.
"Depuis l'installation de la MINUSCA, en septembre 2014, 27 casques bleus ont perdu la vie en Centrafrique" mais l'ONU oublie de nous dire combien de Centrafricains ont été tué par ses casques bleus et de nous rappeler d'autres crimes tels que la Pédophilie, les Viols, le Vol de bétail dans la région de Bocaranga etc...

"Depuis 1948, date de la première mission de paix des Nations Unies, près de 3500 casques bleus sont morts en mission, dont 129 en 2015": le Secrétaire général des Nations Unies Ban Ki-moon oubli là-aussi de nous dire que c'est au lendemain de la 1ère guerre mondiale qu'en prévision de la décolonisation que les colonisateurs et les USA se sont partagés le gâteau.
Rendons hommage à toutes les vies humaines prélevées avec ou contre le chronogramme des Nations Unies. Le CCPR se demande pourquoi Ban Ki-moon et l'ONU ne dénoncent pas, ne comptabilisent pas les morts par balle des fabricants d'armes, et les marques de ces engins de morts utilisés même par ces soi-disant soldats de la paix, outils du néocolonialisme.
Le CCPR accuse et dénonce cette manipulation internationale de même que leurs acolytes Touadéra, Idriss Deby, Macky Sall, Mahamadou Issoufou, exceptés le Président Nigérian Muhammadu Buhari et le Président Camerounais Paul Biya. Ceux-là ont passé des accords avec les oppresseurs au détriment de leur peuple et voilà pourquoi la démocratie n'a pas droit de citer en Afrique, car pour ces Collabos-Rats-Taires sont assis entre deux chaises. Voilà le choix cornélien offert à nos dirigeants: faut-il respecter le peuple ou les faiseurs de potentats? Ces deux exigences contradictoires pour ces dirigeants qui doivent gérer à la fois les aspirations de leur peuple et remplir leurs contrats passés avec les braqueurs et les pilleurs de l'Afrique immensément riche mais privatisée. Vraiment l'Afrique est mal partie puisque surveillée comme du lait sur le feu.
Dans tout ça, la République Centrafricaine démilitarisée possède ses Généraux délinquants: ses Médecins Généraux.

Dr Félix Yandia, président du CCPR, le 09/06/2016



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