
Après une première audition le vendredi 1ᵉʳ août, M. Maïga a été convoqué pour, selon les enquêteurs, des confrontations avec certains de ses anciens collaborateurs. Arrivé sur place à 9 heures, il a attendu jusqu’à 14 heures, mais les confrontations annoncées n’ont finalement pas eu lieu. Les agents de la brigade lui ont alors notifié formellement son placement en garde à vue, dans l’attente de la transmission du dossier aux autorités compétentes.
Plusieurs anciens collaborateurs de l’ex-chef du gouvernement sont également concernés par cette mesure, notamment son ancien directeur de cabinet, le Professeur Issiaka Ahmadou Singaré, ainsi que trois anciens directeurs administratifs et financiers de la Primature.
L’avocat de M. Maïga, Maître Cheick Oumar Konaré, a rappelé que son client bénéficie de tous les égards du personnel de la brigade et demeure présumé innocent jusqu’à toute éventuelle condamnation par les juridictions compétentes.
Le conseil assure qu’il informera l’opinion publique de l’évolution de la procédure dans les prochains jours.
Plusieurs anciens collaborateurs de l’ex-chef du gouvernement sont également concernés par cette mesure, notamment son ancien directeur de cabinet, le Professeur Issiaka Ahmadou Singaré, ainsi que trois anciens directeurs administratifs et financiers de la Primature.
L’avocat de M. Maïga, Maître Cheick Oumar Konaré, a rappelé que son client bénéficie de tous les égards du personnel de la brigade et demeure présumé innocent jusqu’à toute éventuelle condamnation par les juridictions compétentes.
Le conseil assure qu’il informera l’opinion publique de l’évolution de la procédure dans les prochains jours.