Dés le jour de l’enlèvement du journaliste d’investigation Nestor Nga Etoga, représentant Cameroun du site d’informations Alwilhda Info, qui enquête dans les entrailles de la société fipcam. Votre autre humble serviteur a voulu comprendre qui et pourquoi en veut-on à sa vie.
Pendant qu’une contre-enquête était ouverte par mes soins, j’entreprenais également de préparer une série de correspondances de demande d’informations auprès de certaines ONG camerounaises et européennes à qui les anciens employés de fipcam et les populations de la ville de Mfou se seraient adressés pour solliciter les enquêtes au sujet des soupçons de noircissement d’argent à travers plusieurs procédés qui échappent au fisc camerounais et d’autres pratiques illégales qui ont fait leur nid dans cette entreprise forestière basée à Mfou.
Plus l’exploitation de mes trouvailles et les entretiens avec certaines sources avançaient, plus mes découvertes se faisaient grandes. Tenez, 49 millions de fcfa d’exploitation illégale de bois par ci,600 millions de fcfa de coupe frauduleuse de bois par là. Des fausses déclarations d’essence et de volume de bois sur des documents sécurisés du ministère des forêts et de la faune.
La tête couronnée de la mafia destructrice instaurée à la fipcam est bien évidemment MULLER Stéphane, administrateur général adjoint en poste, qui subit les foudres des plaintes déclenchées conjointement par un groupe d’anciens employés et de riverains natifs de la ville de Mfou regroupés sous le nom COLLECTIF CAMEROUN D’ABORD ont permis qu’il soit interdit de sortir du territoire nationale, et poursuivi au tribunal de Mfou pour tentative d’assassinat, au tribunal de grande instance du Mfoundi pour faux et usage de faux,corruption et abus d’autorité, au tribunal d’Ekounou pour refus de payer un licenciement abusif, au tribunal administratif de Mendong pour d’autres licenciements abusifs et expropriation foncière de 230 000m2 d’une valeur de 400 millions de fcfa.
La plainte introduite par MULLER Stéphane pour chantage contre le journaliste d’investigation Nestor Nga Etoga mais dont aucune convocation ne lui avait été remise au préalable et qui avec surprise a donné droit au mandat d’arrêt qui a conduit à son interpellation n’a aucune raison d’être. La preuve, MULLER Stéphane n’a pas été capable de produire une moindre correspondance ou communication téléphonique dans laquelle l’accusé lui aurait demandé de l’argent durant l’année 2016 ou avant, pour ne pas publier les résultats de ses investigations. Pourtant il a été constaté que sa première publication sur les fraudes de la fipcam date de novembre 2012 dans le journal Le Renard.Par contre,il y a des preuves qui montrent que la fipcam a proposé un arrangement à AlwihdaInfo pour que les publications sur la fipcam soient retirées de leur base de données. Le journaliste aurait conseillé à sa hiérarchie de ne faire aucun marchandage. On ne marchande pas la vérité. Et une recherche sur plusieurs supports d’informations a permis de constater que le journaliste a publié cette tentative de corruption plusieurs jours avant son enlèvement.
Le journaliste d’investigation Nestor Nga Etoga n’est pas le seul à subir les gaffes criminelles de MULLER Stéphane et de la fipcam. Au mois de Juillet 2015,le plaignant AMOUGOU Jean avait vu son garçon de fils être percuté intentionnellement par un véhicule pickup de la fipcam. Le plaignant BEYEME Etienne avait subi trois cambriolages en deux semaines, des documents compromettants MULLER Stéphane avaient été emportés. Un cambriolage s’était aussi produit à la chefferie traditionnelle de Nkolnguet et encore des documents compromettant MULLER Stéphane et la fipcam avaient été emportés. MULLER Stéphane avait tenté à plusieurs reprises de localiser nuitamment par les moyens de corruption la résidence privée du président des anciens employés de la fipcam, DIEU seul sait si c’est un gâteau à la crème blanche ou un cercueil qu’il voulait lui offrir.
Certains employés disent souffrir le martyr. Constatez-le vous-même, me lance un parmi d’autres : « Reporter, le travail a eu lieu à la fipcam un 11 février, fête nationale de la jeunesse. Plusieurs d’entre nous ne bénéficions pas de jour de repos hebdomadaire ni d’indemnité de non logement. Des délégués du personnel sont licenciés à tout vent. Des suspensions de paiement des salaires sont infligées. Des médailles d’honneur de travail sont confisquées. Le treizième mois est inexistant. D’autres, pour peu qu’ils s’opposent à la mafia instaurée dans l’entreprise se font licencier ».
Figurez-vous, pendant que le Cameroun enregistrait des morts en pagailles suite à l’accident de train de CAMRAIL à Yaoundé le vendredi 21 octobre dernier, les employés de l’Usine fipcam pris de panique se sont approché de l’administrateur général adjoint MULLER Stéphane pour qu’il leurs permette d’utiliser leurs téléphones portables pour informer leurs familles comme l’ont fait ses protégés de la direction générale, il a refusé en balançant je me fiche de vos morts. C’est vous qui voulez mon licenciement. S’en est suivi une vive discussion au bout de celle-ci les employés ont décidé d’observer une journée de grève pour la journée du lundi 24 octobre dernier et ils lui ont forcé de rédiger une note de service dans ce sens, sinon le débrayage durera plusieurs jours. MULLER Stéphane a été obligé de s’exécuter.
MULLER Stéphane, esclavagiste des temps modernes et hors la loi, possèderait un gang, qui a attaqué le drapeau national camerounais et l’a outrageusement déchiré devant la chefferie traditionnelle de Nkolnguet en tenant en respect le chef du village, témoin privilégié de cette sordide scène. Un des membres de ce gang aurait copieusement violé l’enfant de sa femme, accouché dans un premier mariage. L’épouse a déposé plainte pour viol contre son mari ONANA Timothée, arrêté et placé en détention provisoire à la prison centrale de Mfou. Mais la famille de l’épouse est surprise de recevoir des menaces venant de MULLER Stéphane,et de constater que ce dernier s’active par des moyens peu orthodoxes pour faire sortir de prison son ami ONANA Thimothée sans qu’un jugement n’a été prononcé, par ce que, comme le dit arrogamment MULLER Stéphane lui-même : « c’est moi ,le Président de Mfou ».
Ces dernières heures, MULLER Stéphane a instruit les délégués du personnel AZOMBO Charles,MANGA ZE et MEZOMO Guy de rédiger une correspondance faisant ses éloges et le présentant pour un humanitaire ,un homme de paix. Depuis quelques heures donc MULLER Stéphane se pavane de bureau en service dans différentes administrations du pays ou les enquêtes ont été lancées contre sa personne, en disant : « Me voici que les populations de Mfou présentent pour un criminel pourtant voici une lettre écrite par les délégués du personnel originaires de Mfou,qui dit que je suis un pacificateur ».De la pure manipulation.
Plusieurs sources disent que MULLER Stéphane aurait subordonné un petit groupe de fonctionnaires, c’est comme cela qu’ils délivrent sur ordre du grand blanc,des convocations jamais remises aux intéressés et des mandats d’arrêt sans base juridique contre toute personne qui ose dénoncer les pratiques mafieuses de la fipcam et de MULLER Stéphane.
En réalité, les différentes procédures qu’engagent MULLER Stéphane et sa bande ont pour seul but de museler toute personne capable de nuire à leur mafia. Mais à entendre les ONG,les anciens employés de fipcam et les populations de Mfou,qu’importe le nombre de mandats d’arrêt et les mensonges de MULLER Stéphane, la bataille est lancée. Ils vaincront MULLER Stéphane et sa bande, la corruption achète peut-être certains, peut-être le maximum mais pas tout le monde, me lancent certains.
Le constat original est infalsifiable, ce que votre humble serviteur a découvert en quelques jours, donne froid au dos.On comprend donc facilement pourquoi le journaliste d’investigation Nestor Nga Etoga pourrait être tué par tous les moyens et à tout moment par des gens sans foi ni loi bourrés d’argent du bois des pauvres camerounais.
Un petit tour fait à la direction générale de la fipcam pour recouper l’information auprès de MULLER Stéphane m’a valu une fin de non recevoir, mais c’est plutôt un appel téléphonique d’un numéro masqué garni d’insultes et de menaces qui a meublé ma nuit du mercredi à jeudi.
Tout prouve que MULLER Stéphane a menti au délégué régional de la sureté nationale du centre et au procureur du tribunal du centre administratif. Le séminaire sur la gestion des forêts camerounaises organisée par l’union européenne depuis mardi dernier est la bienvenue, fipcam ne doit pas seulement y participer mais doit apprendre même si pour MULLER Stéphane le plus important est de faire des photos qui, pour lui, sont une attestation de bonne gouvernance forestière.
Votre humble serviteur attend donc aussi d’être arrêté ou tué sur ordre des très puissants dirigeants de la fipcam. Une affaire qui interpelle au plus haut niveau le syndicat national Union des journalistes du Cameroun et le monde de la presse internationale.
Comme le dit un adage africain, le chien a beau avoir quatre pattes mais il ne peut pas prendre deux directions en même temps.
Vivement pour les citoyens camerounais que le président de la république ordonne enfin l’arrestation du criminel en divagation MULLER Stéphane.
Jean de Dieu NGUEMALEU
Journaliste d’investigation
[email protected]
Pendant qu’une contre-enquête était ouverte par mes soins, j’entreprenais également de préparer une série de correspondances de demande d’informations auprès de certaines ONG camerounaises et européennes à qui les anciens employés de fipcam et les populations de la ville de Mfou se seraient adressés pour solliciter les enquêtes au sujet des soupçons de noircissement d’argent à travers plusieurs procédés qui échappent au fisc camerounais et d’autres pratiques illégales qui ont fait leur nid dans cette entreprise forestière basée à Mfou.
Plus l’exploitation de mes trouvailles et les entretiens avec certaines sources avançaient, plus mes découvertes se faisaient grandes. Tenez, 49 millions de fcfa d’exploitation illégale de bois par ci,600 millions de fcfa de coupe frauduleuse de bois par là. Des fausses déclarations d’essence et de volume de bois sur des documents sécurisés du ministère des forêts et de la faune.
La tête couronnée de la mafia destructrice instaurée à la fipcam est bien évidemment MULLER Stéphane, administrateur général adjoint en poste, qui subit les foudres des plaintes déclenchées conjointement par un groupe d’anciens employés et de riverains natifs de la ville de Mfou regroupés sous le nom COLLECTIF CAMEROUN D’ABORD ont permis qu’il soit interdit de sortir du territoire nationale, et poursuivi au tribunal de Mfou pour tentative d’assassinat, au tribunal de grande instance du Mfoundi pour faux et usage de faux,corruption et abus d’autorité, au tribunal d’Ekounou pour refus de payer un licenciement abusif, au tribunal administratif de Mendong pour d’autres licenciements abusifs et expropriation foncière de 230 000m2 d’une valeur de 400 millions de fcfa.
La plainte introduite par MULLER Stéphane pour chantage contre le journaliste d’investigation Nestor Nga Etoga mais dont aucune convocation ne lui avait été remise au préalable et qui avec surprise a donné droit au mandat d’arrêt qui a conduit à son interpellation n’a aucune raison d’être. La preuve, MULLER Stéphane n’a pas été capable de produire une moindre correspondance ou communication téléphonique dans laquelle l’accusé lui aurait demandé de l’argent durant l’année 2016 ou avant, pour ne pas publier les résultats de ses investigations. Pourtant il a été constaté que sa première publication sur les fraudes de la fipcam date de novembre 2012 dans le journal Le Renard.Par contre,il y a des preuves qui montrent que la fipcam a proposé un arrangement à AlwihdaInfo pour que les publications sur la fipcam soient retirées de leur base de données. Le journaliste aurait conseillé à sa hiérarchie de ne faire aucun marchandage. On ne marchande pas la vérité. Et une recherche sur plusieurs supports d’informations a permis de constater que le journaliste a publié cette tentative de corruption plusieurs jours avant son enlèvement.
Le journaliste d’investigation Nestor Nga Etoga n’est pas le seul à subir les gaffes criminelles de MULLER Stéphane et de la fipcam. Au mois de Juillet 2015,le plaignant AMOUGOU Jean avait vu son garçon de fils être percuté intentionnellement par un véhicule pickup de la fipcam. Le plaignant BEYEME Etienne avait subi trois cambriolages en deux semaines, des documents compromettants MULLER Stéphane avaient été emportés. Un cambriolage s’était aussi produit à la chefferie traditionnelle de Nkolnguet et encore des documents compromettant MULLER Stéphane et la fipcam avaient été emportés. MULLER Stéphane avait tenté à plusieurs reprises de localiser nuitamment par les moyens de corruption la résidence privée du président des anciens employés de la fipcam, DIEU seul sait si c’est un gâteau à la crème blanche ou un cercueil qu’il voulait lui offrir.
Certains employés disent souffrir le martyr. Constatez-le vous-même, me lance un parmi d’autres : « Reporter, le travail a eu lieu à la fipcam un 11 février, fête nationale de la jeunesse. Plusieurs d’entre nous ne bénéficions pas de jour de repos hebdomadaire ni d’indemnité de non logement. Des délégués du personnel sont licenciés à tout vent. Des suspensions de paiement des salaires sont infligées. Des médailles d’honneur de travail sont confisquées. Le treizième mois est inexistant. D’autres, pour peu qu’ils s’opposent à la mafia instaurée dans l’entreprise se font licencier ».
Figurez-vous, pendant que le Cameroun enregistrait des morts en pagailles suite à l’accident de train de CAMRAIL à Yaoundé le vendredi 21 octobre dernier, les employés de l’Usine fipcam pris de panique se sont approché de l’administrateur général adjoint MULLER Stéphane pour qu’il leurs permette d’utiliser leurs téléphones portables pour informer leurs familles comme l’ont fait ses protégés de la direction générale, il a refusé en balançant je me fiche de vos morts. C’est vous qui voulez mon licenciement. S’en est suivi une vive discussion au bout de celle-ci les employés ont décidé d’observer une journée de grève pour la journée du lundi 24 octobre dernier et ils lui ont forcé de rédiger une note de service dans ce sens, sinon le débrayage durera plusieurs jours. MULLER Stéphane a été obligé de s’exécuter.
MULLER Stéphane, esclavagiste des temps modernes et hors la loi, possèderait un gang, qui a attaqué le drapeau national camerounais et l’a outrageusement déchiré devant la chefferie traditionnelle de Nkolnguet en tenant en respect le chef du village, témoin privilégié de cette sordide scène. Un des membres de ce gang aurait copieusement violé l’enfant de sa femme, accouché dans un premier mariage. L’épouse a déposé plainte pour viol contre son mari ONANA Timothée, arrêté et placé en détention provisoire à la prison centrale de Mfou. Mais la famille de l’épouse est surprise de recevoir des menaces venant de MULLER Stéphane,et de constater que ce dernier s’active par des moyens peu orthodoxes pour faire sortir de prison son ami ONANA Thimothée sans qu’un jugement n’a été prononcé, par ce que, comme le dit arrogamment MULLER Stéphane lui-même : « c’est moi ,le Président de Mfou ».
Ces dernières heures, MULLER Stéphane a instruit les délégués du personnel AZOMBO Charles,MANGA ZE et MEZOMO Guy de rédiger une correspondance faisant ses éloges et le présentant pour un humanitaire ,un homme de paix. Depuis quelques heures donc MULLER Stéphane se pavane de bureau en service dans différentes administrations du pays ou les enquêtes ont été lancées contre sa personne, en disant : « Me voici que les populations de Mfou présentent pour un criminel pourtant voici une lettre écrite par les délégués du personnel originaires de Mfou,qui dit que je suis un pacificateur ».De la pure manipulation.
Plusieurs sources disent que MULLER Stéphane aurait subordonné un petit groupe de fonctionnaires, c’est comme cela qu’ils délivrent sur ordre du grand blanc,des convocations jamais remises aux intéressés et des mandats d’arrêt sans base juridique contre toute personne qui ose dénoncer les pratiques mafieuses de la fipcam et de MULLER Stéphane.
En réalité, les différentes procédures qu’engagent MULLER Stéphane et sa bande ont pour seul but de museler toute personne capable de nuire à leur mafia. Mais à entendre les ONG,les anciens employés de fipcam et les populations de Mfou,qu’importe le nombre de mandats d’arrêt et les mensonges de MULLER Stéphane, la bataille est lancée. Ils vaincront MULLER Stéphane et sa bande, la corruption achète peut-être certains, peut-être le maximum mais pas tout le monde, me lancent certains.
Le constat original est infalsifiable, ce que votre humble serviteur a découvert en quelques jours, donne froid au dos.On comprend donc facilement pourquoi le journaliste d’investigation Nestor Nga Etoga pourrait être tué par tous les moyens et à tout moment par des gens sans foi ni loi bourrés d’argent du bois des pauvres camerounais.
Un petit tour fait à la direction générale de la fipcam pour recouper l’information auprès de MULLER Stéphane m’a valu une fin de non recevoir, mais c’est plutôt un appel téléphonique d’un numéro masqué garni d’insultes et de menaces qui a meublé ma nuit du mercredi à jeudi.
Tout prouve que MULLER Stéphane a menti au délégué régional de la sureté nationale du centre et au procureur du tribunal du centre administratif. Le séminaire sur la gestion des forêts camerounaises organisée par l’union européenne depuis mardi dernier est la bienvenue, fipcam ne doit pas seulement y participer mais doit apprendre même si pour MULLER Stéphane le plus important est de faire des photos qui, pour lui, sont une attestation de bonne gouvernance forestière.
Votre humble serviteur attend donc aussi d’être arrêté ou tué sur ordre des très puissants dirigeants de la fipcam. Une affaire qui interpelle au plus haut niveau le syndicat national Union des journalistes du Cameroun et le monde de la presse internationale.
Comme le dit un adage africain, le chien a beau avoir quatre pattes mais il ne peut pas prendre deux directions en même temps.
Vivement pour les citoyens camerounais que le président de la république ordonne enfin l’arrestation du criminel en divagation MULLER Stéphane.
Jean de Dieu NGUEMALEU
Journaliste d’investigation
[email protected]