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COP 22 : Renforcement de l'opérationnalisation de l'accord de Paris sur le climat
La conférence internationale sur le climat s'est ouverte ce lundi 7 novembre 2016 à Marrakech, au Maroc où une trentaine de chefs d'Etat, dont une vingtaine de l'Afrique sont attendus. Le lancement des travaux a eu lieu en l'absence du Roi Mohammed VI en visite officielle au Sénégal depuis dimanche.
La COP 22 doit permettre de matérialiser et d'accélérer les engagements pris par les Etats lors de la conférence internationale sur le climat tenue à Paris en 2015, consistant à maintenir le réchauffement climatique en deçà de 2 degrés celcius.
Après le succès diplomatique engrangé à Paris, l'année passée, la conference internationale sur le climat de Marrakech permettra aux 195 pays engagés de voir s'ils sont prêts à agir concrètement et rapidement pour passer à l'action afin de réduire les émissions de gaz à effet de serre, en vue d'échapper à un scénario catastrophique avec la hausse vertigineuse de la température de 4 ou 5 degrés celcius.
Les grands traits sur lesquels vont être focalisés les discussions entre les négociateurs de différents pays, à savoir, une transition énergétique rapide vers l'énergie solaire et éolienne, la préservation des ressources en eau, la sécurité alimentaire, la gestion durable et résiliante du sol et l'adaptation de l'agriculture au réchauffement climatique, notamment sur le continent africain qui accueille et abrite les travaux de la COP 22.
Les pays Africains comptent également sur l'initiative pour les énergies renouvelables et de 10 milliards de dollars promis par les pays industrialisés afin de promouvoir les énergies vertes sur le continent avec des projets en cours d'évaluation. Le Maroc, pays hôte, veut notamment montrer l'exemple avec la plus grande centrale solaire au monde construite aux portes du désert, à Ouarzazate.
L'accord de Paris sur le réchauffement climatique est entré en vigueur le 4 novembre 2016. À la veille de l'ouverture de la conférence de Marrakech, 96 pays représentant 69% des émissions mondiales de gaz à effet de serre ont ratifié cet accord y compris les États-Unis, la Chine, Union Européenne et Inde.
La COP 22 doit permettre de matérialiser et d'accélérer les engagements pris par les Etats lors de la conférence internationale sur le climat tenue à Paris en 2015, consistant à maintenir le réchauffement climatique en deçà de 2 degrés celcius.
Après le succès diplomatique engrangé à Paris, l'année passée, la conference internationale sur le climat de Marrakech permettra aux 195 pays engagés de voir s'ils sont prêts à agir concrètement et rapidement pour passer à l'action afin de réduire les émissions de gaz à effet de serre, en vue d'échapper à un scénario catastrophique avec la hausse vertigineuse de la température de 4 ou 5 degrés celcius.
Les grands traits sur lesquels vont être focalisés les discussions entre les négociateurs de différents pays, à savoir, une transition énergétique rapide vers l'énergie solaire et éolienne, la préservation des ressources en eau, la sécurité alimentaire, la gestion durable et résiliante du sol et l'adaptation de l'agriculture au réchauffement climatique, notamment sur le continent africain qui accueille et abrite les travaux de la COP 22.
Les pays Africains comptent également sur l'initiative pour les énergies renouvelables et de 10 milliards de dollars promis par les pays industrialisés afin de promouvoir les énergies vertes sur le continent avec des projets en cours d'évaluation. Le Maroc, pays hôte, veut notamment montrer l'exemple avec la plus grande centrale solaire au monde construite aux portes du désert, à Ouarzazate.
L'accord de Paris sur le réchauffement climatique est entré en vigueur le 4 novembre 2016. À la veille de l'ouverture de la conférence de Marrakech, 96 pays représentant 69% des émissions mondiales de gaz à effet de serre ont ratifié cet accord y compris les États-Unis, la Chine, Union Européenne et Inde.
