Sa dernière production à qui veut l'entendre, même pas en OFF :
"On m'accuse d'avoir truqué les élections pour faire passer Touadera.
Ca c'était sous la pression de l'ambassadeur de la France de l'époque Charles MALINAS.
Il m'avait dit que si DOLOGUELE passait, c'était la Droite française qui passait en RCA, et que cela se passerait mal pour nous, et je l'avais écouté.
MALINAS m'avait même dit qu'il avait reçu des instructions de Paris, de LE DRIAN pour tout faire pour bloquer DOLOGUELE.
Qu'est-ce que vous voulez que je fasse ? J'ai obéi et donné des ordres.
Regardez au Gabon, PING a gagné haut la main, et les français, comme en 2009 ont tout changé pour garder le fils Bongo au pouvoir.
Là, TOUADERA comme président ne fait rien, il est très décevant.
En plus, contrairement à sa promesse de me protéger, il raconte maintenant qu'il ne peut rien faire."
En conclusion, les centrafricains ont eu la naïveté de penser que leurs voix aux élections avaient un sens.
Erreur fatale, tout est décidé "d'en haut" par avance, sans leur avis, surtout le choix du président de la République, en occurrence, FAUSTIN TOUADERA, qu'aucun centrafricain n'a élu, ce qui confine à un coup d'état français encore, comme en 1979.
En RCA, l'histoire a cette fâcheuse habitude de toujours bégayer.
Plus ? Lire : http://mondafrique.com/rca-regrets-de-catherine-samba-panza/
© Novembre 2016 – LAMINE MEDIA
Ca c'était sous la pression de l'ambassadeur de la France de l'époque Charles MALINAS.
Il m'avait dit que si DOLOGUELE passait, c'était la Droite française qui passait en RCA, et que cela se passerait mal pour nous, et je l'avais écouté.
MALINAS m'avait même dit qu'il avait reçu des instructions de Paris, de LE DRIAN pour tout faire pour bloquer DOLOGUELE.
Qu'est-ce que vous voulez que je fasse ? J'ai obéi et donné des ordres.
Regardez au Gabon, PING a gagné haut la main, et les français, comme en 2009 ont tout changé pour garder le fils Bongo au pouvoir.
Là, TOUADERA comme président ne fait rien, il est très décevant.
En plus, contrairement à sa promesse de me protéger, il raconte maintenant qu'il ne peut rien faire."
En conclusion, les centrafricains ont eu la naïveté de penser que leurs voix aux élections avaient un sens.
Erreur fatale, tout est décidé "d'en haut" par avance, sans leur avis, surtout le choix du président de la République, en occurrence, FAUSTIN TOUADERA, qu'aucun centrafricain n'a élu, ce qui confine à un coup d'état français encore, comme en 1979.
En RCA, l'histoire a cette fâcheuse habitude de toujours bégayer.
Plus ? Lire : http://mondafrique.com/rca-regrets-de-catherine-samba-panza/
© Novembre 2016 – LAMINE MEDIA