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Crise sociale : le durcissement des positions attise les tensions
Le secrétaire général de l’Alliance des Défenseurs des Droits Humains et de l’Environnement au Tchad (ADHET), Abba Daoud Nandjede. Alwihda Info
N'DJAMENA, Tchad - Pour sa rentrée sociale, l'Alliance des défenseurs des droits humains et de l'environnement au Tchad (ADHET) a déploré le 19 octobre 2018 une "grève interminable qui paralyse l’administration, bloque la rentrée scolaire dans les établissements publics, et empêche les hôpitaux de fonctionner normalement."
D'après le secrétaire général de l'ADHET, Abba Daoud Nandjede, "d’ici un peu plus de deux mois, le Tchad va entrer officiellement dans une période préélectorale avec ses convulsions politiques et ses débordements. Déjà, il est à craindre, les poussées de violence qui se nourrissent en ce moment, des commentaires quelques peu haineux et qui préparent de vagues de contestations ouvertes".
L'ADHET relève le manque d’eau et d’électricité de plus en plus "criarde" dans la ville de N’Djamena et dans certaines localités du pays, doublé de la cherté de vie. Le tout, dans un contexte sécuritaire "qui n’est pas au beau fixe".
Elle recommande aux citoyens qui se sont mis en dehors de la légalité d’entamer les négociations pour rentrer dans la légalité Républicaine.
Par ailleurs, elle demande au Gouvernement de régler cette situation de grève en confirmant en urgence ses propositions faites à la Plateforme Syndicale Revendicative quant à l’augmentation graduelle des AGS, pour que les écoles reprennent, les hôpitaux s’ouvrent pour le grand soulagement de la population et pour que l’administration publique puisse tourner à plein régime pour le bien économique et social de tous.
L’ADHET invite le ministre de l’Education nationale à retirer sa circulaire qui, loin de trouver une solution à la grève participe au durcissement des positions et à l’attisement des tensions.
D'après le secrétaire général de l'ADHET, Abba Daoud Nandjede, "d’ici un peu plus de deux mois, le Tchad va entrer officiellement dans une période préélectorale avec ses convulsions politiques et ses débordements. Déjà, il est à craindre, les poussées de violence qui se nourrissent en ce moment, des commentaires quelques peu haineux et qui préparent de vagues de contestations ouvertes".
L'ADHET relève le manque d’eau et d’électricité de plus en plus "criarde" dans la ville de N’Djamena et dans certaines localités du pays, doublé de la cherté de vie. Le tout, dans un contexte sécuritaire "qui n’est pas au beau fixe".
Elle recommande aux citoyens qui se sont mis en dehors de la légalité d’entamer les négociations pour rentrer dans la légalité Républicaine.
Par ailleurs, elle demande au Gouvernement de régler cette situation de grève en confirmant en urgence ses propositions faites à la Plateforme Syndicale Revendicative quant à l’augmentation graduelle des AGS, pour que les écoles reprennent, les hôpitaux s’ouvrent pour le grand soulagement de la population et pour que l’administration publique puisse tourner à plein régime pour le bien économique et social de tous.
L’ADHET invite le ministre de l’Education nationale à retirer sa circulaire qui, loin de trouver une solution à la grève participe au durcissement des positions et à l’attisement des tensions.
