Revendications et Ultimatum
Les cybercriminels affirment avoir infiltré le portail CHEOPS et accédé aux messageries de nombreux enquêteurs de la Police et de la Gendarmerie Nationales. Ils exigent une négociation directe avec l'État français, sous peine de :
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Vendre les données à des groupes tiers ou des agences étrangères ;
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Procéder à une fuite publique complète, décrite comme "sans précédent".
Données sensibles concernées
Le groupe prétend détenir des extractions issues de fichiers régaliens critiques :
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Le TAJ (Traitement des Antécédents Judiciaires) ;
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Le FPR (Fichier des Personnes Recherchées) ;
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Des fichiers financiers confidentiels.
État de la menace
À ce jour, aucune preuve publique (échantillon de données) n'a été diffusée pour étayer le volume de 16 millions de dossiers. Cependant, la méthode décrite (accès aux boîtes mails des enquêteurs) est prise très au sérieux par les services de cyberdéfense. L'intrusion aurait été détectée alors que l'extraction de données était déjà avancée.
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France : Alerte sur une cyberattaque d'envergure contre le Ministère de l'Intérieur











