« Lorsque je suis arrivé à la tête de ce pays, j’ai trouvé une armée composée de véritables clochards », a déclaré le Chef de l’État, évoquant sans détour les conditions de vie précaires dans lesquelles évoluaient de nombreux militaires. Il a souligné que ces soldats étaient souvent envoyés au front sans rations, sans solde régulière, sans munitions suffisantes ni encadrement adéquat, tout en étant sommés d’accomplir l’impossible.
Malgré cette situation, le Président Tshisekedi a salué le courage et le sens du devoir des militaires, en particulier ceux du rang, qui ont continué à défendre la nation dans des conditions extrêmes. « J’avais une admiration sans faille pour ces hommes », a-t-il insisté, rappelant que certains ont malgré tout accompli de véritables exploits sur le terrain.
Conscient que la performance opérationnelle de l’armée est indissociable des conditions sociales de ses membres, le Président affirme avoir fait de l’amélioration du bien-être des militaires une priorité dès le début de son mandat. Cette politique vise notamment à améliorer les conditions de vie des soldats, mais aussi à protéger leurs familles — épouses, enfants et proches — afin de leur offrir une stabilité minimale.
« L’objectif était clair : leur permettre de se consacrer pleinement à leur mission essentielle, celle de la défense de la patrie », a-t-il expliqué, reconnaissant toutefois que beaucoup reste encore à faire pour atteindre cet idéal.
Au-delà de la question militaire, Félix Tshisekedi a également élargi sa réflexion à la société congolaise dans son ensemble. Il a estimé que le patriotisme s’est progressivement érodé dans le pays, tout en affirmant qu’il n’est pas trop tard pour inverser la tendance. Selon lui, la jeunesse, majoritaire au sein de la population, constitue la clé du renouveau national.
Le Président a ainsi appelé à une réappropriation des valeurs fondamentales, notamment celle du patriotisme, qu’il juge indispensable à la sauvegarde de la nation. « C’est à ce prix que la nation sera sauvée dans les années à venir », a-t-il conclu.
Malgré cette situation, le Président Tshisekedi a salué le courage et le sens du devoir des militaires, en particulier ceux du rang, qui ont continué à défendre la nation dans des conditions extrêmes. « J’avais une admiration sans faille pour ces hommes », a-t-il insisté, rappelant que certains ont malgré tout accompli de véritables exploits sur le terrain.
Conscient que la performance opérationnelle de l’armée est indissociable des conditions sociales de ses membres, le Président affirme avoir fait de l’amélioration du bien-être des militaires une priorité dès le début de son mandat. Cette politique vise notamment à améliorer les conditions de vie des soldats, mais aussi à protéger leurs familles — épouses, enfants et proches — afin de leur offrir une stabilité minimale.
« L’objectif était clair : leur permettre de se consacrer pleinement à leur mission essentielle, celle de la défense de la patrie », a-t-il expliqué, reconnaissant toutefois que beaucoup reste encore à faire pour atteindre cet idéal.
Au-delà de la question militaire, Félix Tshisekedi a également élargi sa réflexion à la société congolaise dans son ensemble. Il a estimé que le patriotisme s’est progressivement érodé dans le pays, tout en affirmant qu’il n’est pas trop tard pour inverser la tendance. Selon lui, la jeunesse, majoritaire au sein de la population, constitue la clé du renouveau national.
Le Président a ainsi appelé à une réappropriation des valeurs fondamentales, notamment celle du patriotisme, qu’il juge indispensable à la sauvegarde de la nation. « C’est à ce prix que la nation sera sauvée dans les années à venir », a-t-il conclu.
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RDC : le Président Tshisekedi revient sur les réformes sociales en faveur des militaires








