WASHINGTON - Le Conseil d'administration de la Banque mondiale a approuvé le 14 d décembre un crédit de 180 millions de dollars américains de l’Association internationale pour le développement (IDA) destiné à soutenir les efforts du gouvernement sénégalais visant à renforcer le cadre politique et institutionnel des secteurs de l'énergie et des technologies de l’information de la communication (TIC) et à créer une économie numérique durable.
Ce crédit d’appui à la politique de développement pour des réformes structurelles multisectorielles a soutenu les efforts du gouvernement au cours des 18 derniers mois. Il a ainsi permis de renforcer la gouvernance et la gestion du secteur de l’énergie afin de réduire les coûts, d’améliorer la fiabilité et de faciliter un accès plus équitable à l’électricité. Il a également soutenu les mesures prises pour renforcer le cadre juridique et réglementaire du secteur TIC pour promouvoir la concurrence, les investissements et un accès plus équitable. Enfin, il a appuyé les efforts visant à renforcer les fondements politiques, institutionnels et financiers de l'économie numérique.
« Les TIC et l’économie numérique sont essentiels à la compétitivité et à la transformation économique du Sénégal », a déclaré Louise Cord, directrice des opérations de la Banque mondiale pour le Sénégal.
« Dans le secteur des TIC, les priorités sont notamment l’amélioration de la gouvernance du secteur, l’ouverture du marché à la concurrence et aux investissements dans tous les segments de l'infrastructure et l’extension de l’accès grâce à la mise en concession des capacités inutilisées du vaste réseau de fibre optique de l’Etat », a-t-elle ajouté.
Louise Cord a également souligné qu’au Sénégal, l'énergie est coûteuse et vulnérable aux fluctuations des prix du pétrole et que l'accès en milieu rural n'est également pas très élevé (40%). Dans ce contexte, le programme de réformes soutenu par l’appui budgétaire a permis de renforcer la situation financière de la compagnie d’électricité et de préparer une transition rapide vers l'utilisation du gaz pour la production d'électricité, ce qui constitue le meilleur moyen de réduire les coûts de l'électricité.
Selon Paolo Zacchia, chargé de programme à la Banque mondiale, « avec les mesures prises dans le secteur de l’énergie, le gouvernement a sécurisé le dispositif institutionnel de financement du secteur de l’électricité, et a établi une stratégie pour la transition énergétique vers le gaz naturel avec une claire répartition des rôles entre le secteur public et privé».
Concernant l’économie numérique, le Sénégal s’est doté d’un nouveau Code de télécommunications pour renforcer la qualité de la gouvernance du secteur des TICs, et améliorer la concurrence. Le gouvernent a aussi créé un Conseil National du Numérique pour impulser la mise en œuvre des projets de la Stratégie Séné gal Numérique 2025, « comme la mise en concession ouverte et transparente de la capacité excédentaire du réseau public de l’ADIE », a-t-il ajouté.
Ce crédit d’appui à la politique de développement pour des réformes structurelles multisectorielles a soutenu les efforts du gouvernement au cours des 18 derniers mois. Il a ainsi permis de renforcer la gouvernance et la gestion du secteur de l’énergie afin de réduire les coûts, d’améliorer la fiabilité et de faciliter un accès plus équitable à l’électricité. Il a également soutenu les mesures prises pour renforcer le cadre juridique et réglementaire du secteur TIC pour promouvoir la concurrence, les investissements et un accès plus équitable. Enfin, il a appuyé les efforts visant à renforcer les fondements politiques, institutionnels et financiers de l'économie numérique.
« Les TIC et l’économie numérique sont essentiels à la compétitivité et à la transformation économique du Sénégal », a déclaré Louise Cord, directrice des opérations de la Banque mondiale pour le Sénégal.
« Dans le secteur des TIC, les priorités sont notamment l’amélioration de la gouvernance du secteur, l’ouverture du marché à la concurrence et aux investissements dans tous les segments de l'infrastructure et l’extension de l’accès grâce à la mise en concession des capacités inutilisées du vaste réseau de fibre optique de l’Etat », a-t-elle ajouté.
Louise Cord a également souligné qu’au Sénégal, l'énergie est coûteuse et vulnérable aux fluctuations des prix du pétrole et que l'accès en milieu rural n'est également pas très élevé (40%). Dans ce contexte, le programme de réformes soutenu par l’appui budgétaire a permis de renforcer la situation financière de la compagnie d’électricité et de préparer une transition rapide vers l'utilisation du gaz pour la production d'électricité, ce qui constitue le meilleur moyen de réduire les coûts de l'électricité.
Selon Paolo Zacchia, chargé de programme à la Banque mondiale, « avec les mesures prises dans le secteur de l’énergie, le gouvernement a sécurisé le dispositif institutionnel de financement du secteur de l’électricité, et a établi une stratégie pour la transition énergétique vers le gaz naturel avec une claire répartition des rôles entre le secteur public et privé».
Concernant l’économie numérique, le Sénégal s’est doté d’un nouveau Code de télécommunications pour renforcer la qualité de la gouvernance du secteur des TICs, et améliorer la concurrence. Le gouvernent a aussi créé un Conseil National du Numérique pour impulser la mise en œuvre des projets de la Stratégie Séné gal Numérique 2025, « comme la mise en concession ouverte et transparente de la capacité excédentaire du réseau public de l’ADIE », a-t-il ajouté.