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Les 7 otages (cinq Français, deux Africains) aux mains d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) depuis mi-septembre et qui étaient détenus dans le nord-Mali, ont été dispersés et ne sont plus sur le territoire malien, a affirmé dimanche à l'AFP une source malienne proche du dossier.
"Les sept otages ont été dispersés et ne sont plus sur le territoire malien. Nous en avons la certitude", a déclaré cette source à l'AFP sous couvert d'anonymat. "Il y a des bonnes volontés maliennes et nigériennes qui font tout pour obtenir des résultats satisfaisants, mais ce n'est pas facile", a-t-elle ajouté.
Peu après leur enlèvement dans la nuit du 15 au 16 septembre dans le nord du Niger, les sept otages (cinq Français, un Togolais et un Malgache) avaient été emmenés au Mali. Il avaient été localisés, ensemble, dans la zone du Timétrine, une région montagneuse du désert malien situé à environ une centaine de kilomètres de la frontière algérienne.
Le chef du réseau Al-Qaïda, Oussama ben Laden, auquel Aqmi a fait allégeance, a lié la libération des otages français au retrait de la France d'Afghanistan, selon un enregistrement sonore diffusé vendredi par Al-Jazira.
Les 7 otages (cinq Français, deux Africains) aux mains d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) depuis mi-septembre et qui étaient détenus dans le nord-Mali, ont été dispersés et ne sont plus sur le territoire malien, a affirmé dimanche à l'AFP une source malienne proche du dossier.
"Les sept otages ont été dispersés et ne sont plus sur le territoire malien. Nous en avons la certitude", a déclaré cette source à l'AFP sous couvert d'anonymat. "Il y a des bonnes volontés maliennes et nigériennes qui font tout pour obtenir des résultats satisfaisants, mais ce n'est pas facile", a-t-elle ajouté.
Peu après leur enlèvement dans la nuit du 15 au 16 septembre dans le nord du Niger, les sept otages (cinq Français, un Togolais et un Malgache) avaient été emmenés au Mali. Il avaient été localisés, ensemble, dans la zone du Timétrine, une région montagneuse du désert malien situé à environ une centaine de kilomètres de la frontière algérienne.
Le chef du réseau Al-Qaïda, Oussama ben Laden, auquel Aqmi a fait allégeance, a lié la libération des otages français au retrait de la France d'Afghanistan, selon un enregistrement sonore diffusé vendredi par Al-Jazira.