
Tout commence dans la nuit de vendredi à samedi, lorsqu’un accord est conclu entre un client et une travailleuse du sexe : une prestation pour la somme de 5 000 FCFA. Mais au moment du règlement, le client, visiblement en état d’ébriété, ne présente que 500 FCFA, soit un dixième du montant convenu. La jeune femme refuse catégoriquement cette modification unilatérale de l’accord.
Le différend, resté en suspens jusque peu avant midi, trouve son épilogue sur le goudron, en pleine journée. S’ensuit une bagarre d’une intensité surprenante. Déterminée à obtenir ce qu’elle estime lui être dû, la jeune femme s’acharne sur son client, indifférente à la foule qui s’amasse et aux tentatives d’intervention des usagers.
Malgré les appels au calme, elle maintient sa position avec fermeté, exigeant le paiement intégral avant toute trêve. Finalement, face à l’impossibilité de récupérer son dû, elle opte pour un geste désespéré : s’emparer des babouches de l’homme, avant de quitter les lieux, amère mais résolue.
L’homme, quelque peu sonné par l’affrontement, est finalement secouru par un motocycliste complaisant qui l’a pris en remorque, mettant un terme à cette scène qui restera, à coup sûr, dans les annales des faits divers locaux.
Cet incident insolite, digne d’un scénario de film, met une nouvelle fois en lumière la précarité et les tensions d’un milieu clandestin où, faute de recours, les conflits se règlent trop souvent dans la rue.
Le différend, resté en suspens jusque peu avant midi, trouve son épilogue sur le goudron, en pleine journée. S’ensuit une bagarre d’une intensité surprenante. Déterminée à obtenir ce qu’elle estime lui être dû, la jeune femme s’acharne sur son client, indifférente à la foule qui s’amasse et aux tentatives d’intervention des usagers.
Malgré les appels au calme, elle maintient sa position avec fermeté, exigeant le paiement intégral avant toute trêve. Finalement, face à l’impossibilité de récupérer son dû, elle opte pour un geste désespéré : s’emparer des babouches de l’homme, avant de quitter les lieux, amère mais résolue.
L’homme, quelque peu sonné par l’affrontement, est finalement secouru par un motocycliste complaisant qui l’a pris en remorque, mettant un terme à cette scène qui restera, à coup sûr, dans les annales des faits divers locaux.
Cet incident insolite, digne d’un scénario de film, met une nouvelle fois en lumière la précarité et les tensions d’un milieu clandestin où, faute de recours, les conflits se règlent trop souvent dans la rue.