Le 17 septembre 2025, un décret a prononcé leur déchéance de nationalité, les accusant « d’intelligence avec des puissances étrangères » et « d’activités incompatibles avec la qualité de citoyen tchadien ».
Selon l’Observatoire, cette décision viole le Code de la nationalité tchadienne, qui n’autorise pas la déchéance pour les citoyens d’origine. Elle expose les deux hommes au risque d’apatridie, en contradiction avec la Déclaration universelle des droits de l’Homme et plusieurs conventions internationales et régionales ratifiées par le Tchad.
L’Observatoire rappelle que le Comité des Nations unies contre la torture avait déjà exhorté le Tchad en 2022 à protéger ses défenseurs des droits humains contre les intimidations, arrestations arbitraires et violences.
L’Observatoire condamne fermement cette décision et appelle les autorités tchadiennes à : révoquer immédiatement la déchéance de nationalité de Nguebla Makaïla et Charfardine Galmaye Saleh ; mettre fin au harcèlement des défenseurs des droits humains ; garantir la liberté d’expression, de presse et d’association ; adopter une loi spécifique de protection des défenseurs des droits humains au Tchad.
Selon l’Observatoire, cette décision viole le Code de la nationalité tchadienne, qui n’autorise pas la déchéance pour les citoyens d’origine. Elle expose les deux hommes au risque d’apatridie, en contradiction avec la Déclaration universelle des droits de l’Homme et plusieurs conventions internationales et régionales ratifiées par le Tchad.
L’Observatoire rappelle que le Comité des Nations unies contre la torture avait déjà exhorté le Tchad en 2022 à protéger ses défenseurs des droits humains contre les intimidations, arrestations arbitraires et violences.
L’Observatoire condamne fermement cette décision et appelle les autorités tchadiennes à : révoquer immédiatement la déchéance de nationalité de Nguebla Makaïla et Charfardine Galmaye Saleh ; mettre fin au harcèlement des défenseurs des droits humains ; garantir la liberté d’expression, de presse et d’association ; adopter une loi spécifique de protection des défenseurs des droits humains au Tchad.