
Face à cette annonce soudaine, les employés chinois n'ont pas pu prendre la route et ont dû rebrousser chemin vers Soraz. Cette situation soulève des questions quant à la sécurité et à la liberté de mouvement des employés.
Les événements ont suscité des inquiétudes concernant un possible bras de fer entre les autorités nigériennes et la CNPC. Certains s'interrogent même sur le statut des employés chinois : sont-ils considérés comme "pris en otage" par la résiliation du contrat et l'annulation de leur vol ?
Cette situation complexe met en lumière les tensions croissantes autour des contrats d'exploitation et des relations entre le Niger et les entreprises étrangères, notamment chinoises. Les développements à venir seront à surveiller de près.