Cette réaction sur son compte Twitter fait suite aux décisions et sanctions prises le 30 juillet 2023 lors du sommet extraordinaire de la CEDEAO et du sommet de l"UEMOA à Abuja.
"Le gouvernement légitime et démocratiquement élu doit être rétabli immédiatement", indique Antony Blinken, marquant une inflexibilité de la position des États-Unis à la suite du renversement du président Mohamed Bazoum par sa garde présidentielle.
"Le gouvernement légitime et démocratiquement élu doit être rétabli immédiatement", indique Antony Blinken, marquant une inflexibilité de la position des États-Unis à la suite du renversement du président Mohamed Bazoum par sa garde présidentielle.
I strongly welcome and support the leadership of ECOWAS Heads of State and Governments to defend constitutional order in Niger. The legitimate, democratically-elected government must be reinstated immediately.
— Secretary Antony Blinken (@SecBlinken) July 30, 2023
Le 30 juillet 2023, un sommet extraordinaire de la CEDEAO s'est tenu à Abuja pour discuter de la crise qui sévit au Niger après le coup d'État. À l'issue de cette réunion, plusieurs points importants ont été décidés pour rétablir la démocratie dans le pays.
Premièrement, la CEDEAO a accordé une période de 7 jours pour rétablir l'ordre constitutionnel et mettre fin à la prise d'otage du président Mohamed Bazoum. Si ces conditions ne sont pas remplies dans le délai imparti, la CEDEAO se réserve le droit d'intervenir immédiatement, y compris par la force, afin de rétablir la démocratie et ramener la stabilité au Niger.
En outre, en réponse à la situation de crise, la CEDEAO a décidé de mettre en place des sanctions très fermes, notamment des mesures économiques, pour faire pression sur les acteurs impliqués dans le coup d'État et ceux qui soutiennent cette action illégitime.
Par ailleurs, une réunion des chefs d'état-major a été convoquée par la CEDEAO pour envisager une option militaire dans le but de restaurer l'ordre constitutionnel et de mettre fin à la prise d'otage du président nigérien.
Dans le cadre de la médiation pour résoudre la crise, le président de transition du Tchad, Mahamat Idriss Deby, a été désigné comme médiateur par la CEDEAO. Il se rendra prochainement à Niamey pour rencontrer les putschistes et tenter de trouver une issue pacifique à la situation.
Premièrement, la CEDEAO a accordé une période de 7 jours pour rétablir l'ordre constitutionnel et mettre fin à la prise d'otage du président Mohamed Bazoum. Si ces conditions ne sont pas remplies dans le délai imparti, la CEDEAO se réserve le droit d'intervenir immédiatement, y compris par la force, afin de rétablir la démocratie et ramener la stabilité au Niger.
En outre, en réponse à la situation de crise, la CEDEAO a décidé de mettre en place des sanctions très fermes, notamment des mesures économiques, pour faire pression sur les acteurs impliqués dans le coup d'État et ceux qui soutiennent cette action illégitime.
Par ailleurs, une réunion des chefs d'état-major a été convoquée par la CEDEAO pour envisager une option militaire dans le but de restaurer l'ordre constitutionnel et de mettre fin à la prise d'otage du président nigérien.
Dans le cadre de la médiation pour résoudre la crise, le président de transition du Tchad, Mahamat Idriss Deby, a été désigné comme médiateur par la CEDEAO. Il se rendra prochainement à Niamey pour rencontrer les putschistes et tenter de trouver une issue pacifique à la situation.