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La deuxième réunion du Comité conjoint de suivi (JOC) de l’Accord de paix, signé le 27 juin 2025, entre la République démocratique du Congo (RDC) et la République du Rwanda, s’est tenue cette semaine à Washington, en présence des États-Unis, du Qatar, du Togo, facilitateur pour l’Union africaine, et de la Commission de l’Union africaine.
Les participants ont reconnu la lenteur dans la mise en œuvre de certaines dispositions de l’accord, tout en réaffirmant leur volonté commune d’assurer son application complète et rapide afin de favoriser la paix, la stabilité et la prospérité dans l’est de la RDC et dans toute la région des Grands Lacs.
Les discussions ont porté sur les récents épisodes de violence à l’est du Congo et sur des mesures concrètes pour garantir le respect des engagements pris. L’un des points saillants a été la fusion des secrétariats techniques de la Communauté d’Afrique de l’Est (EAC), de la Communauté de développement d’Afrique australe (SADC) et de l’Union africaine, désormais réunis en un secrétariat indépendant.
Cette structure jouera un rôle central dans le suivi de l’application de l’accord. Par ailleurs, la RDC et le Rwanda ont réaffirmé leur engagement à faciliter le retour des réfugiés, conformément aux décisions issues de la rencontre ministérielle tripartite du 8 août. Ils se sont également engagés à cesser immédiatement et sans condition tout soutien étatique aux groupes armés non étatiques.
Un canal technique d’échanges directs, à la fois militaire et sécuritaire, sera mis en place en amont de la prochaine réunion du Mécanisme conjoint de coordination sécuritaire (JSCM) prévue à Doha. Le Qatar a informé le Comité de l’avancée des négociations entre la RDC et le mouvement M23 à Doha, jugées cruciales pour parvenir à une stabilisation durable de l’est congolais.
Enfin, les membres du Comité ont réaffirmé l’importance de réunions régulières pour évaluer les progrès, relever les défis et assurer une mise en œuvre effective de l’Accord. La RDC et le Rwanda ont exprimé leur gratitude envers les États-Unis, le Qatar et l’Union africaine pour leur rôle actif dans le processus.
Les participants ont reconnu la lenteur dans la mise en œuvre de certaines dispositions de l’accord, tout en réaffirmant leur volonté commune d’assurer son application complète et rapide afin de favoriser la paix, la stabilité et la prospérité dans l’est de la RDC et dans toute la région des Grands Lacs.
Les discussions ont porté sur les récents épisodes de violence à l’est du Congo et sur des mesures concrètes pour garantir le respect des engagements pris. L’un des points saillants a été la fusion des secrétariats techniques de la Communauté d’Afrique de l’Est (EAC), de la Communauté de développement d’Afrique australe (SADC) et de l’Union africaine, désormais réunis en un secrétariat indépendant.
Cette structure jouera un rôle central dans le suivi de l’application de l’accord. Par ailleurs, la RDC et le Rwanda ont réaffirmé leur engagement à faciliter le retour des réfugiés, conformément aux décisions issues de la rencontre ministérielle tripartite du 8 août. Ils se sont également engagés à cesser immédiatement et sans condition tout soutien étatique aux groupes armés non étatiques.
Un canal technique d’échanges directs, à la fois militaire et sécuritaire, sera mis en place en amont de la prochaine réunion du Mécanisme conjoint de coordination sécuritaire (JSCM) prévue à Doha. Le Qatar a informé le Comité de l’avancée des négociations entre la RDC et le mouvement M23 à Doha, jugées cruciales pour parvenir à une stabilisation durable de l’est congolais.
Enfin, les membres du Comité ont réaffirmé l’importance de réunions régulières pour évaluer les progrès, relever les défis et assurer une mise en œuvre effective de l’Accord. La RDC et le Rwanda ont exprimé leur gratitude envers les États-Unis, le Qatar et l’Union africaine pour leur rôle actif dans le processus.