Plusieurs milliers d'opposants ont manifesté à travers la Russie, de Saint-Pétersbourg à Vladivostok, à l'occasion de la "journée du désaccord" avec le pouvoir. La police, déployée en masse, a procédé à des dizaines d'interpellations à Moscou.
Les protestataires qui représentaient un large spectre politique, des libéraux à l'extrême gauche, réclamaient notamment la démission du premier ministre russe Vladimir Poutine. Ils n'ont toutefois pas bénéficié d'un soutien massif dans la population.
Malgré la crise économique, M. Poutine conserve en effet une cote de popularité très élevée de 83%, selon un récent sondage de l'institut indépendant Levada.
Dans le même temps, non loin de la Place Rouge, une manifestation du parti au pouvoir Russie unie a réuni 5000 personnes selon les organiseurs, et 8000, selon la police. Les participants ont crié "Medvedev ! Poutine ! Nous allons gagner ensemble !".
Les chaînes de télévision russes, contrôlées par le régime, ont diffusé des images de ce rassemblement, mais fait l'impasse sur les interpellations d'opposants.
ATS
sadam
Les protestataires qui représentaient un large spectre politique, des libéraux à l'extrême gauche, réclamaient notamment la démission du premier ministre russe Vladimir Poutine. Ils n'ont toutefois pas bénéficié d'un soutien massif dans la population.
Malgré la crise économique, M. Poutine conserve en effet une cote de popularité très élevée de 83%, selon un récent sondage de l'institut indépendant Levada.
Dans le même temps, non loin de la Place Rouge, une manifestation du parti au pouvoir Russie unie a réuni 5000 personnes selon les organiseurs, et 8000, selon la police. Les participants ont crié "Medvedev ! Poutine ! Nous allons gagner ensemble !".
Les chaînes de télévision russes, contrôlées par le régime, ont diffusé des images de ce rassemblement, mais fait l'impasse sur les interpellations d'opposants.
ATS
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