Lundi 27 juillet 2015, il est 9h à Nouakchott, la capitale mauritanienne, soit 10h à N’Djaména. Le Palais de Congrès, cadre choisit pour abriter les travaux du 3ème Sommet de la Conférence des Chefs d'Etat et de Gouvernement de l'Agence Panafricaine de la Grande Muraille Verte vibre au rythme des arrivées des Chefs de d’Etat et de gouvernement dont celle du Président de la République IDRISS DEBY ITNO.
09h 15, les Chefs d’Etat et de gouvernement des onze (11) pays membres à savoir Tchad, Burkina Faso, Djibouti, Érythrée, Éthiopie, Mali, Mauritanie, Niger, Nigéria, Sénégal et Soudan font leur entrée dans la salle. Le ministre mauritanien de l’Environnement et du développement durable, M Amédi Camara trace les sillons de cette 3ème conférence en se basant sur l’objectif de l’agence panafricaine de la grande muraille verte qu’est celui est de freiner, à l’horizon 2020-2025, l’avancée de la désertification, de transformer les vestes étendues arides du Sahel en terre de production et de développement durable.
Le Secrétaire exécutif de la grande muraille verte Pr. Abdoulaye Dia, emboîte les pas du ministre mauritanien de l’Environnement et du développement durable, en déclarant avec force et conviction que la GMV constitue une réponse et une contribution de l’Afrique face à la désertification et dégradation des terres. Pour le professeur Abdoulaye Dia si l’APGMV continue à faire son chemin, c’est grâce à la contribution du Tchad et de son Président.
Aux noms des partenaires financiers de l’agence panafricaine de la grande muraille verte, M. Lamine Ndongo représentant du Directeur de la Banque Africaine de développement (BAD), et celui du Directeur exécutif du Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE) Tiao Ibrahim ont marqué leur engagement pour accompagner ce grand projet intégrateur.
Ouvrant officiellement les travaux en sa qualité de Président en exercice de la Conférence des Chefs d’Etat et de Gouvernement de l’Agence Panafricaine de la Grande Muraille Verte, le Président mauritanien Mohamed Ould Abdel-Aziz, a, dans un discours prononcé en arabe, langue officielle de la Mauritanie fait remarquer que l’Agence panafricaine de la Grande Muraille Verte est une initiative propre des Chefs d’Etat et de Gouvernement africains. Elle est considérée par la Communauté scientifique internationale et ses partenaires comme une réponse concrète et opérationnelle face à la désertification.
Pour le Président mauritanien, la Grande Muraille Verte est, sans conteste, un projet majeur de l’Afrique toute entière car la lutte contre l’avancée du désert ne doit pas concerner les seuls pays du Sahel et du Sahara mais de l’Afrique toute entière.
Après la cérémonie officielle d’ouverture, les Chefs d’Etat et de gouvernement se sont retirés à huis-clos à l’effet d’examiner le rapport des activités techniques et financiers 2014, celui relatif à l’état d’avancement de la mise en œuvre de la grande muraille verte couvrant la période du 2011-2015, ainsi que de fiches techniques synoptiques par pays, assorti d’un document d’orientation sur la préparation de la seconde génération de la stratégie post 2015, à savoir 2016 -2020. Les Chefs d’Etat ont planché également sur une stratégie conséquente de mobilisation de financement durable pour la mise en œuvre des projets et programme de la GMV dans les divers pays.
Rappelons que les travaux de la 3ème Conférence des Chefs d’Etat ont été précédés de la 4ème Session Ordinaire du Conseil des Ministres et de la réunion préparatoire du Comité Technique des experts.
09h 15, les Chefs d’Etat et de gouvernement des onze (11) pays membres à savoir Tchad, Burkina Faso, Djibouti, Érythrée, Éthiopie, Mali, Mauritanie, Niger, Nigéria, Sénégal et Soudan font leur entrée dans la salle. Le ministre mauritanien de l’Environnement et du développement durable, M Amédi Camara trace les sillons de cette 3ème conférence en se basant sur l’objectif de l’agence panafricaine de la grande muraille verte qu’est celui est de freiner, à l’horizon 2020-2025, l’avancée de la désertification, de transformer les vestes étendues arides du Sahel en terre de production et de développement durable.
Le Secrétaire exécutif de la grande muraille verte Pr. Abdoulaye Dia, emboîte les pas du ministre mauritanien de l’Environnement et du développement durable, en déclarant avec force et conviction que la GMV constitue une réponse et une contribution de l’Afrique face à la désertification et dégradation des terres. Pour le professeur Abdoulaye Dia si l’APGMV continue à faire son chemin, c’est grâce à la contribution du Tchad et de son Président.
Aux noms des partenaires financiers de l’agence panafricaine de la grande muraille verte, M. Lamine Ndongo représentant du Directeur de la Banque Africaine de développement (BAD), et celui du Directeur exécutif du Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE) Tiao Ibrahim ont marqué leur engagement pour accompagner ce grand projet intégrateur.
Ouvrant officiellement les travaux en sa qualité de Président en exercice de la Conférence des Chefs d’Etat et de Gouvernement de l’Agence Panafricaine de la Grande Muraille Verte, le Président mauritanien Mohamed Ould Abdel-Aziz, a, dans un discours prononcé en arabe, langue officielle de la Mauritanie fait remarquer que l’Agence panafricaine de la Grande Muraille Verte est une initiative propre des Chefs d’Etat et de Gouvernement africains. Elle est considérée par la Communauté scientifique internationale et ses partenaires comme une réponse concrète et opérationnelle face à la désertification.
Pour le Président mauritanien, la Grande Muraille Verte est, sans conteste, un projet majeur de l’Afrique toute entière car la lutte contre l’avancée du désert ne doit pas concerner les seuls pays du Sahel et du Sahara mais de l’Afrique toute entière.
Après la cérémonie officielle d’ouverture, les Chefs d’Etat et de gouvernement se sont retirés à huis-clos à l’effet d’examiner le rapport des activités techniques et financiers 2014, celui relatif à l’état d’avancement de la mise en œuvre de la grande muraille verte couvrant la période du 2011-2015, ainsi que de fiches techniques synoptiques par pays, assorti d’un document d’orientation sur la préparation de la seconde génération de la stratégie post 2015, à savoir 2016 -2020. Les Chefs d’Etat ont planché également sur une stratégie conséquente de mobilisation de financement durable pour la mise en œuvre des projets et programme de la GMV dans les divers pays.
Rappelons que les travaux de la 3ème Conférence des Chefs d’Etat ont été précédés de la 4ème Session Ordinaire du Conseil des Ministres et de la réunion préparatoire du Comité Technique des experts.